Le front ukrainien de Koursk s'effondre à Sudja et un changement de régime à Kiev se prépare peut-être.
Débandade des unités ukrainiennes autour de Sudja et lourdes pertes sous les tirs de drones et de l'aviation contre les troupes en fuite.
Yulia Timochenko, égérie de la "Révolution orange" de 2004, devient la dirigeante du "Parti de la paix" en Ukraine.
Elle est rejointe par Oleksiy Arestovytch, ancien conseiller principal de Zelensky.
On peut supposer qu'un changement de régime (poussé par les USA et soutenu par la Russie ?) est en train de se mettre en place.
Sur le front de Koursk (en Russie), et spécifiquement à Sudja, selon les sources ukrainiennes :
L'armée russe a fait une percée décisive en trois points, avec une sortie des troupes dans le dos de l'armée ukrainienne (par le gazoduc qui alimentait l'UE).
L'Ukraine contrôlait encore hier, 8 mars, 360 km² de territoire russe. En 24 h, elle en a perdu un tiers : Kiev ne contrôle plus que 240 km².
Comme à Bakhmout et à Avdiivka, aucun ordre officiel de retrait n'a été donné, les troupes étant abandonnées à leur sort.
Les unités ukrainiennes au nord de la ville de Sudja se retirent dès lors de manière désorganisée.
Plus de 1 000 soldats ukrainiens seraient morts durant la journée du 8 mars, et l'armée ukrainienne aurait perdu plus de 120 véhicules et pièces d’équipement lourd.
Zelensky refuse de donner l'ordre au reste de l'armée ukrainienne de décrocher et de se regrouper.
Il veut qu'ils restent sur un bout de territoire russe, au risque de perdre complètement certaines des meilleures unités de son armée.
Si tel est le cas, cela pourrait faciliter une révolution de palais.
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