http://www.24hgold.com/francais/article-or-argent-le-monde-est-il-a-la-veille-de-l-une-des-plus-grave-crises-depuis-1900-.aspx?article=11954573800H11690&redirect=false&contributor=Anthony+Alberti
Rappel que lorsque des indices comme le Dow Jones, ou le CAC40, le Nikkei, et autres, montent en flèches dans les marchés, alors que l'économie de terrain ne justifie absolument pas ces hausses, c'est évidemment sur la valeurs spéculatives que les marchés se bases, et par conséquent, il est aussi probable qu'un jour, les acteurs importants de ces marchés, décident de faire monté la valeur pour permettre aux "copains" de vendre au meilleurs prix les valeurs indexées, et laisser finalement ceux qui achètent, subir l'effondrement. Et c'est justement le risque, lorsque dans les grands empires financiers, certains veulent toujours plus, et prennent trop de risque pour désengager leurs actifs d'un risque majeur d'effondrement. D'ou la raison des petites triches et collusions vis à vis des législateurs et des régulateurs pour arrondir les angles et limiter les casses au cas ou. Mais les expositions sont telles que même avertis en temps et en heures d'un crash a venir, ils ne réussiront jamais a évité le pire d'un crash systémique. Sauf quand les états finissent par mettre de la liquidité pour des plans de sauvetages, évidemment, au frais du contribuables. Et finalement, ce sont les états qui finissent pas boire la tasse, tant ces sociétés sont généralement passé à la caisse, sans rendre l'appareil outre mesure. Car même les quelques amendes négociées avec quelques justices financières, ne couvrent pas ce que le contribuable a dû déboursé indirectement (par des emprunts ou de la vente de part de réserves d'or nationales comme a fait Sarkozy en 2008) pour sauvé des banques. A la rigueur, seul les américains ont exigés le remboursement des sommes prêtées, mais sans les intérêts qui ont été au frais du contribuable américain.
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