mardi 5 décembre 2017

OSONS

Osé critiquer Obama à la télévision, c'est comme critiqué dieu le père ou alors Allah, si on est "tendance suicidaire". Parce que toutes vérités ne sont pas bonne à dire...;
Gilles-William Goldnadel (avocat et éditorialiste) : «Ce qui restera d’Obama, c’est que c’est celui qui est grandement responsable du calvaire du peuple syrien. Ce monsieur qu’on paie grassement pour ses conférences n’a même pas respecté la ligne rouge qu’il s’était fixée. C’est un président calamiteux.»
C'est un peu comme aux USA, ou pas mal d'américains se voilent la face en rétorquant "Est ce que Trump est peut être mieux ?", sur un ton souvent hautin et accusateur, du fait d'avoir osé critiquer l'ancien président. Non, bien sûr, mais est ce que Trump doit faire oublié l'évidence qu'Obama a aussi sa part de responsabilité justement, dans le vote Trumpiste, du fait de 8 ans de tromperies et de déceptions auprès d'un électorat qui a même retourner sa veste, du fait qu'on leur imposait un successeur tout aussi vendu au système. Mais çà, en France, il est interdit de le rappeler pour préservé l'image bon enfant et "cool" d'un Obama qui comme les copains, se rince gracieusement sur son nom et sa réputation, pour répéter comme un perroquet, la bonne leçon humanisme et de démocratie.

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