dimanche 17 décembre 2017

PHÉNOMÈNE

La désertification de commerces des centres villes n'est pas nouvelle. Le phénomène s'amplifie. La responsabilité ? Souvent la recherche du pragmatisme, de pratique, le consommateur c'est laisser tenté par les supermarchés, les galeries marchandes, souvent installés en périphérie. Même phénomène aussi au USA, ou lorsque dans les années 60, on a poussé les populations de la classe moyenne hors des centre villes, devenu trop cher, on a installer une nouvelle économie de "banlieue". Mais le résultat, aura été que quasiment toutes les villes, petites, moyennes, grandes, on vu leurs centres villes disparaître, ou devenir de vrai désert, ou il n'y a plus qu'en général des restaurants, des assurances, des banques, des galeries d'arts, ou voir des boutiques de luxes, pour justement la population encore existantes en centre ville, au niveau de vie élevée pour se permettre d'y vivre dans des appartement a des millions de dollars. Mais pour des petites villes, le constat est à l'image du désert journalier des rues, qui pour certaines villes arrivent encore a s'animée que le soir, pour les nocturnes. Ce qui a encore plus pousser les résidents a quitter les centres villes, du fait du bruit et des désordres de voie public que cela engendre.

Mais le marché aux USA, a finit par saturé les banlieues qui voient aujourd'hui des centres commerciaux entiers tombés en ruine, du fait d'une offre qui a dépassé le potentiel de pouvoir d'achat, qui lui aussi au fil des ans, c'est érodé.


En France, le phénomène commence déjà a se constater, ou des centres commerciaux, mais surtout des galeries marchandes de centre ville, comme en périphérie, commencent a souffrir d'un niveau de loyer trop élevé pour de simples commerçants indépendants. Et du coup on va chercher des enseignes nationale, des grandes marques, pour remplir les galeries. Le problème, c'est que comme aux USA, vous vous retrouvez avec les mêmes enseignes sur l'ensemble des centres commerciaux.


Même si encore, en France, beaucoup de gens ont gardé l'esprit de la balade en centre ville, faire les magasins, aller au resto, et se retrouver dans un bar, de plus en plus de gens voient aussi le coût du stationnement, quand ils ne sont pas non plus tributaires des transports en commun, surtout dans des villes ou tard le soir, la sécurité devient relative.
Mais clairement, beaucoup de petites et moyennes villes sont en train de voir inexorablement leurs centres villes mourir. http://www.liberation.fr/france/2017/12/13/centres-villes-les-hypers-sont-de-plus-en-plus-rudes_1616517

Voir aussi ; 
Pourquoi les boutiques sont inoccupées dans les centres commerciaux

A NOTÉ qu'une des raisons aussi du problème du centre ville, est évidemment le parking. Là ou certaines villes ont tenté de gardé la gratuité, le nombre de places est souvent trop limité. Et ce qui a été aussi décisif, comme aussi une erreur, c'est d'avoir développer des espaces de parking, confiés a des sociétés privées, qui ont fait leurs profits avec des tarifications qui sont devenu hors de prix, dissuadant les gens de venir en centre ville et de rester finalement en périphérie. Et il n'est pas rare aujourd'hui de croisé des gens qui admettent ne plus avoir mit les pieds dans le centre ville depuis des années, alors qu'ils n'habitent qu'a 5 ou 10 minutes. Même quand ces villes possèdent des métros ou des bus, l'insécurité est parfois aussi un argument de poids pour pousser des gens à ne plus y mettre les pieds.

Exemple avec Cahors http://www.liberation.fr/france/2017/12/13/a-cahors-le-fragile-equilibre-entre-centre-et-peripherie_1616520 et Montelimar http://www.liberation.fr/france/2017/12/13/au-coeur-de-montelimar-les-commerces-touchent-le-fond_1616522

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