dimanche 15 avril 2018

AUTRE VERSION

Voici ce qui vous permettra, de voir que de l'autre coté de la barrière, on a aussi des informations toutes aussi croustillantes. Des agents occidentaux arrêtés par les forces syriennes, prouvant des manipulations et des interventions de la part d'américains, israéliens, français, britanniques, sur le territoire syrien. Et plus particulièrement, sur des identifications d'armes chimiques de fabrication occidentales, et des marchandises bien encombrantes pour les occidentaux, qui pourraient expliqué la raison de ces attaques rapides. Selon cette version (car restons évidemment prudent) les américains auraient purement et simplement embarqué les britanniques et les français, a bombarder en réalité des lieux de stockages d'armes chimiques d'origines étrangères, récupérées par les forces syriennes des mains des rebelles comme de DAESH, prouvant que c'est bien l'occident qui a vendu ces armes et de ce fait, prouvant que rebelles, comme DAESH possédaient bien eux aussi des armes ou tous du moins des composants pouvant permettre la fabrication d'armes chimiques. 

On peu donc considéré que cette "théorie" est parfaitement plausible, du fait que ce n'est pas la première fois que l'on retrouve des armes d'origines occidentales, entre les mains des rebelles et des djihadistes de DAESH, y compris des composés chimiques. Le fait que les occidentaux cherchent a détruire ces preuves, n'est pas totalement idiot, et est fort possible, sous couvert d'attaque de soit disant dépôts d'armes chimiques syriennes.

NDL : il faut toujours se remémorer ce qui est en pratique dans ce genre de situation. L'histoire nous apprend des redondances de méthodes, de tactiques, d'usages, qui ne changent pas réellement d'un conflit à un autre. Rien ne prétend que c'est vrai, mais l'usage fait que cela peut être une logique stratégique tout à fait possible et de ce fait écarte les accusations systématiques de l'occident à l'encontre de "méchants" qui sont pourtant armées, équipées, par les mêmes fournisseurs que leurs ennemis. 

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