lundi 16 avril 2018

OPINION

Le problème aujourd'hui, c'est de jauger au mieux les données pour savoir jusqu'ou cela peu aller. Car a force de changer les règles du jeu et de voir une lutte de pouvoir s'afficher de plus en plus, dans une déliquescence économique et sociale généralisée, difficile de prédire si la Syrie, comme l'Ukraine, seront les mèches d'un conflit plus frontal, plus brutal. Car entre les mots et les actes, on se rend compte qu'il y a de plus en plus de différence, tant les mots sont disproportionner par rapport aux actes, qui même s'ils sont parfois dangereux, ont quand même une connotation qui démontre une peur. Une peur que celui en face, soit plus résistant, plus vindicatif, plus coriace que tous ceux qu'on a pu éliminer par le passé. Car l'occident est parfaitement conscient que leurs capacités a redessiné le contexte géopolitique c'est souvent limité a des pays dans lesquels ils ont jouer les apprentis sorciers, et que la recette ne pourra pas fonctionner aussi bien chez ceux qui les empêches de tourner en rond. 

Plus encore, quant on se demande jusqu'ou ceux qui tiennent les ficelles, sont capables d'aller pour imposer leur modèle. Car force est de constater, que progressivement, l'asservissement et la privation de liberté vont bon train pour nous enfermer idéologiquement parlant dans des dogmes ou nous n'aurons plus aucune marge de manoeuvre pour les empêcher de prendre le pouvoir. Et si nous résistons, ils sont parfaitement capable de nous jeter dans la gueule d'une guerre totale, tant civilisationnelle qu'ethnico religieuse (pour couvrir encore plus leur domination qui a terme, pourrait tout aussi bien déclencher une troisième guerre mondiale, qui leur faciliterait la tâche de pouvoir installer leur nouvel ordre mondial sur les cendres de notre monde). 

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