Le producteur tabassé offre évidemment sa version des faits. Mais on ne sait en réalité pas ce qui s'est passer à l'exterieur. Car étrangement, si l'on a des vidéos sur la difficulté qu'on les policiers le mettre dans le véhicule, rien sur l'avant. Mais comme nous sommes dominés par des influences d'opinions qui veulent absolument faire passer la police comme des haineux digne d'une gestapo, on devra accepter sans doute, sans réflexion, sans droit fondamentale de réserve, accepter comme argent comptant la version d'un producteur, de surcroît, noir, donc élément à charge pour la police d'être "obligatoirement" raciste.
Sauf que nous savons qu'en France, la "diversité", a en son sein des gens qui n'aiment pas l'autorité. Et du fait, ne font jamais preuve de coopération avec elle. A tord ou à raison, on sait que tout est bon pour parfois jouer les "victimes" face à des policiers, même pour un simple contrôle, et qui plus est, encore plus vrai lorsque la police a une bonne raison de faire son travail. Bien sûr, on peut débattre d'un choix arbitraire de certains policiers a contrôler plus spécifiquement des noirs et des arabes, du fait qu'il y a des antécédents sociaux, comportementaux, qui influent les orientation politique de sécurité, en dehors du schéma individuel qu'on incombe à un racisme lattant. Un argument qui devient fallacieux lorsque la police est elle même issue de la diversité, comme l'affaire Adama Traoré ou les rageux qui criaient au racisme, se sont retrouver un peu benêts lorsque parmi les gendarmes il y avait des gens de couleurs.
Dans l'affaire du producteur Michel, il y a forcément eut un déclencheur, une mèche qui a mit le feu au poudre, et pousser, avec excès, la police a faire ce qu'elle a fait. Mais comme les médias ne donne qu'un seul son de cloche, on ne saura jamais si Michel n'a pas lui aussi sa part de responsabilité dans cette monté de violence.
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