C'est un média anglo saxon qui nous apprend que l'état français a statué sur recommandation de l'académie française sur l'écriture inclusive.
Cependant, l'Académie française ou l'Académie française, qui est l'autorité éducative de 400 ans chargée de préserver la langue française, a rejeté la proposition de réveil. L'Académie française a déclaré que l'ouverture était «nuisible à la pratique et à la compréhension du [français]».
Nathalie Elimas, secrétaire d'État de la France à l'éducation prioritaire, a déclaré que les changements proposés non sexistes étaient "un danger pour notre pays" et "le glas de l'utilisation du français dans le monde". Elimas a ajouté que l'utilisation de points médians "disloque les mots, les divise en deux"....
Et en effet, Bulletin officiel n° 18 du 6 mai 2021
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Dans le cadre de l'enseignement, la conformité aux règles grammaticales et syntaxiques est de rigueur. Deux conséquences en découlent.
En premier lieu, il convient de proscrire le recours à l'écriture dite « inclusive », qui utilise notamment le point médian pour faire apparaître simultanément les formes féminines et masculines d'un mot employé au masculin lorsque celui-ci est utilisé dans un sens générique. L'adoption de certaines règles relevant de l'écriture inclusive modifie en effet le respect des règles d'accords usuels attendues dans le cadre des programmes d'enseignement. En outre, cette écriture, qui se traduit par la fragmentation des mots et des accords, constitue un obstacle à la lecture et à la compréhension de l'écrit. L'impossibilité de transcrire à l'oral les textes recourant à ce type de graphie gêne la lecture à voix haute comme la prononciation, et par conséquent les apprentissages, notamment des plus jeunes. Enfin, contrairement à ce que pourrait suggérer l'adjectif « inclusive », une telle écriture constitue un obstacle pour l'accès à la langue d'enfants confrontés à certains handicaps ou troubles des apprentissages...
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