La science à ses contraintes que parfois, la concurrence s'amuse à mettre en perspective pour menacer ceux qui ont un train d'avance.
Le transhumanisme est une course technologique pour développer de nouveau marché, ceux de demain. Alors forcément quand Musk prend une longueur d'avance sur les implants cérébraux, ça ne plaît pas.
La semaine dernière, Elon Musk estimait que l’implant que développe sa start-up Neuralink pourrait être implanté dans un cerveau humain, pour communiquer avec les ordinateurs directement par la pensée. Une révolution pour tous mais surtout pour les personnes paralysées ou condamnées au silence par des affections neurologiques. Mais, révèle ce mardi l’agence Reuters, Neuralink fait l’objet d’une enquête fédérale pour d’éventuelles violations du bien-être des animaux sur lesquels sont testés les implants.
Menée en toute discrétion par l’inspection générale du ministère américain de l’Agriculture (USDA) à la demande d’un procureur fédéral, l’enquête se concentre sur la manière de tester et de traiter certains animaux des laboratoires du milliardaire américain.
Reuters affirme avoir examiné des dizaines de documents de la start-up – messages, enregistrements audio, courriers électroniques, présentations et rapports internes - et mené des entretiens avec plus de vingt employés, anciens ou toujours en poste. Certains ont fait état de la pression faite par le PDG pour accélérer le développement de l’implant, au risque de bâcler la phase d’expérimentation.
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