Les médias ne relaieront que très peu ce fait. Souvenez vous de cette personnalité qui a un temps bénéficié de l'argument que si elle était critiquée, attaquée, c'était du "racisme". Sauf que depuis les plaintes déposées contre elle, Laetitia Avia a vu la justice retenir ces plaintes et aller directe devant la 31 chambre correctionnelle, ou dernièrement, il à été requit une peine de 10 000 euros, un an de prison avec sursis, et 5 ans d'inéligibilité. La cours ayant donc bien retenue les faits, c'est un peu l'image d'Epinal qui s'effondre sur l'exemplarité et l'attitude irréprochable d'une élue, d'une politicienne, qui très clairement, c'est planquée derrière sa couleur de peau pour être exécrable, autoritaire, et en abus de pouvoir sur des collaborateurs comme employés à son service.
Laetitia Avia a beau contester, l’accusation persiste et signe. Ce jeudi, elle a requis un an de prison avec sursis, 10.000 euros d’amende et 5 ans d’inéligibilité à l’encontre de l’ancienne députée LREM, jugée pour harcèlement moral sur sept de ses ex-assistants parlementaires entre 2017 et 2020. Le procès de l’ancienne députée de Paris et pilier de la majorité, qui conteste vigoureusement tout harcèlement, a débuté les 9 et 10 mai avant d’être interrompu à cause du planning chargé de la 31e chambre correctionnelle du tribunal de Paris.
Dans son réquisitoire, la procureure a estimé que l’élue avait bien « dénigré » et « humilié » ses collaborateurs, notamment par des « quolibets » et des remarques visant l’orientation sexuelle ou les origines, qu’elle avait en outre instauré un « climat de peur » et exigé des « heures de travail abusives » ainsi que des tâches indues liées à sa vie personnelle. La représentante du ministère public a souligné « l’excès » et la « répétition » qui ressortent des témoignages des sept anciens collaborateurs, dont deux n’ont pas voulu se porter partie civile. « Ils dénoncent les mêmes mots, les mêmes faits », a souligné la magistrate.
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