La mouvance LGBTQ+ a été bousculé ce mois de Juin, mois des fiertés. L'immaculée conception des idéologies ont été sujet à controverse, et des décisions de certains états, ont évidemment fait polémique. Alors il faut manipuler l'opinion avec des fragiles du haut, des acteurs et actrices d'Hollywood qui signe une tribune, tenez vous bien, pour demander aux réseaux sociaux de censurer les propos allant à l'encontre des accès à la chirurgie pour les transitions chez les enfants. Cette action reflète non seulement l'infantilisation et le côté décalé de ces artistes du monde réel, mais aussi le fait, plus particulièrement en Californie, des progressismes transhumanistes et eugéniques, qui font de cet état le laboratoire idéal de tous les délires que l'idéologie LGBTQ+ peut vouloir tenter d'imposer à l'opinion.
Quelque 250 célébrités hollywoodiennes du cinéma, de la télévision et de la musique ont signé une lettre ouverte exhortant les grandes entreprises technologiques à sévir contre toute personne qui ne s’aligne pas sur l’agenda transgenre, notamment en préconisant des opérations chirurgicales visant à changer le sexe des enfants.
La lettre a été envoyée aux PDG de Meta, YouTube, TikTok et Twitter par GLAAD (Gay & Lesbian Alliance Against Defamation) et la Human Rights Campaign (HRC), et a été signée par des centaines de noms célèbres, dont Amy Schumer, Ariana Grande, Demi Lovato, Jamie Lee Curtis, Judd Apatow, Patrick Stewart et bien d’autres.
Elle affirme que « l’interdiction de la haine, du harcèlement et de la désinformation malveillante anti-LGBTQ sur vos plateformes a fait l’objet d’une défaillance systémique massive et qu’il faut y remédier », pointant du doigt « les posts dangereux (à la fois le contenu et les publicités) […] qui ciblent les personnes transgenres, non binaires et non conformes au genre ».
« Cette désinformation et cette haine, modérées de manière inadéquate sur vos plateformes, jouent un rôle important dans la forte augmentation du ciblage et de la violence anti-transgenre dans le monde réel », poursuit la lettre.
La lettre décrète en outre que « vos politiques et l’application correspondante sont inadéquates lorsqu’il s’agit d’atténuer les contenus anti-LGBTQ nuisibles et dangereux. Vous devez prendre des mesures urgentes pour protéger les utilisateurs trans et LGBTQ sur vos plateformes (notamment en nous protégeant d’une application excessive et de la censure). »
Les célébrités citent spécifiquement les entreprises technologiques qui permettent aux gens de s’engager dans le « deadnaming » et le « mégenrage » comme un « mode répandu de discours de haine à travers toutes les plateformes, utilisé pour intimider et harceler des personnalités publiques importantes tout en exprimant simultanément la haine et le mépris ».
La lettre demande ensuite ce que les entreprises technologiques vont faire pour remédier aux « contenus qui répandent des mensonges malveillants et de la désinformation sur les soins de santé médicalement indispensables pour les jeunes transgenres ».
La lettre précise que « des mesures d’atténuation spécifiques doivent être mises en place pour ce type de désinformation (par exemple, à l’instar des mesures d’atténuation et des règles relatives aux élections et au COVID-19) ».
Il s’agit donc essentiellement de censurer toute personne qui ne préconise pas l’ablation des organes génitaux des enfants et leur stérilisation.
Rappelons que les « mesures d’atténuation » employées par les grandes entreprises technologiques contre les personnes qui exprimaient des opinions sur l’élection de 2020 et le COVID-19 qui divergeaient d’une manière ou d’une autre du récit de l’establishment consistaient à les censurer et à les supprimer complètement des plates-formes.
Cela comprenait le fait de simplement suggérer que la théorie de la fuite du laboratoire COVID, qui est maintenant la réalité probable acceptée par plusieurs agences gouvernementales et scientifiques, justifiait une enquête.
Pendant ce temps, dans le monde réel, un nouveau sondage de Summit Ministries et McLaughlin & Associates a révélé que 61 % des électeurs américains pensent que le fait d’exposer les enfants au transgendrisme, aux spectacles de travestis et aux thèmes LGBTQ+ freine leur développement émotionnel et psychologique.
Le sondage a également révélé que 63 % des personnes interrogées pensent que ceux qui préconisent d’exposer les enfants à ces questions sont uniquement motivés par le désir de promouvoir un programme culturel spécifique.
Un autre sondage a révélé que près des trois quarts des personnes interrogées (73 %) souhaitent que les entreprises restent neutres sur les questions politiques et culturelles, y compris les LGBTQ+, et qu’un peu plus de la moitié d’entre elles se déclarent favorables au boycott des entreprises qui commercialisent agressivement cet ordre du jour.
Ces chiffres concordent avec un autre sondage réalisé par The Trafalgar Group en partenariat avec Convention of States Action, selon lequel 62 % des personnes interrogées souhaitent que les entreprises restent neutres pendant le mois des fiertés, et 41 % déclarent avoir participé au boycott d’une entreprise pour avoir pris des positions publiques hostiles.
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