Après le « quoi qu’il en coûte », l’exécutif veut désormais tailler dans les dépenses publiques
L’exécutif doit détailler ce lundi les mesures qu’il souhaite mettre en œuvre pour que l’endettement du pays atteigne 108,3 % en 2027 contre 111,2 % aujourd’hui. Le tout sans augmenter les impôts.
C’est l’heure des comptes. Après l’ère du « quoi qu’il en coûte » pour passer la pandémie, voici venue celle du « un sou est un sou ». Ce lundi 19 juin, le gouvernement organise au ministère de l’Économie les assises des finances publiques. Une grand-messe qui doit détailler les mesures concrètes que l’exécutif espère voir appliquer pour désendetter le pays. Lesquelles ? « Ce n’est pas uniquement identifier telle ou telle économie mais aussi réinterroger nos choix collectifs et du partage du fardeau entre les collectivités, les individus, les entreprises pour arriver à la fin à boucler l’équation financière », prévient-on dans l’entourage de Bruno Le Maire. À Bercy, on aime à rappeler que 50 % de la dépense publique concerne le social, 20 % les collectivités et 30 %...
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