jeudi 1 août 2024

DANS L'OMBRE DE L'ELITE BIEN PENSANTE

 

« Messes noires et Snuff movies en France », un documentaire traumatisant

La chaîne allemande N24 a diffusé un reportage troublant, réalisé en France. Étonnamment, les médias français n’ont pas repris cette histoire, malgré la gravité des témoignages qui auraient dû alerter les plus hautes instances. Vous allez découvrir des récits effroyables de plusieurs enfants, victimes d’un réseau criminel pédocriminel impliqué dans des soirées sataniques avec cannibalisme et crimes rituels.

Certains de ces témoignages sont liés à l’affaire Dutroux et des photos de Robert ont été retrouvées sur des CD-Rom pédo-pornographiques de Zandvoort où sont présents des centaines de milliers de photos d’enfants. Malheureusement et à l’étonnement général, ces éléments de preuve ont été ignorés par les autorités.

Attention, nous tenons à prévenir les spectateurs que ce documentaire aborde des sujets sensibles et contient des témoignages qui peuvent être difficiles à entendre pour certaines personnes.

Transcription (extraits) :

– La mère d’une petite victime : J’ai toujours ignoré les problèmes de pédophilie, comme la plupart des gens. Je pense qu’il faut en faire l’expérience avant de pouvoir comprendre ce qu’est la pédophilie. Petit à petit, Robert a commencé à nous raconter des choses… Ce qui était déconcertant, c’est que Robert me racontait des soirées où il allait avec son père et d’autres adultes déguisés avec des robes et des masques. Ce qui m’a particulièrement interpellé dans son histoire était qu’il a dit : « Papa s’est déguisé, mais j’ai quand même reconnu sa voix. » Et il a aussi mentionné des sacrifices d’animaux ainsi que des sacrifices d’enfants. Il expliquait beaucoup de choses en les imitant avec des gestes. Il n’a pas dit littéralement « sacrifices d’enfants », il a dit qu’ils les faisaient saigner puis ils les enterraient.

– Voix off : Comme beaucoup d’autres enfants, Robert mentionne qu’il y avait aussi des caméras. Nous avons retrouvé des photos de Robert sur les CD-Rom pédo-pornographiques de Zandvoort. La maman a clairement reconnu son fils sur les photos. Mais même cela n’est pas une preuve suffisante pour poursuivre les violeurs. (…)

Sur la route de Scientrier au lac de Genève, il y a une maison que Deborah appelle « la maison verte ». Selon elle, il n’y avait pas que des abus sexuels sur les enfants ici… Deborah, qui a aujourd’hui 15 ans, dit qu’il y avait des rituels sataniques.

– Deborah : Il y avait une table avec des bougies… Il y en avait sur la table et tout autour et il y avait mes agresseurs.

– Journaliste : Tu dis qu’ils ont mis deux des autres enfants qui étaient là, sur la table ? Que s’est-il passé ? Sans rentrer dans les détails.

– D :… Ils découpaient l’enfant… des parties du corps.
– J : Avec quoi ont-ils fait cela ?
– D : Avec un couteau électrique.
– J : L’enfant était en vie ?

– D : … oui…
– J : Ils le tuaient ensuite ?
– D : Non, ils le laissaient souffrir… Il finissait pas mourir.
– J : Ils découpaient un doigt par exemple ?
– D : Un pied… et ils le violaient en même temps.
– J : Ils le violaient et les autres devaient regarder ?
– D : … oui…

– Voix off : Noémie a 18 ans, c’est une jeune femme qui tente de reconstruire sa vie. Une vie apparemment normale, sauf le fait qu’elle ne sera jamais capable d’oublier les horreurs qu’elle a vécues.

– Noémie : Si je témoigne aujourd’hui, c’est évidemment pour coopérer avec ce reportage, mais c’est surtout parce que les gens doivent entendre parler de ces choses-là. Pour que les gens sachent que c’est vrai, que les enfants sont violés et assassinés quotidiennement. C’est une réalité ! Je l’ai vécu, je l’ai vu de mes propres yeux et c’est pourquoi je tiens à transmettre ce message. C’est nécessaire afin de s’assurer que ces choses ne puissent pas arriver à d’autres enfants, pour que les enfants arrêtent de se faire violer. Les gens doivent se réveiller et prendre conscience de ce qui se passe, et qu’on arrête de dire que les enfants sont des menteurs ou des fabulateurs. Ce n’est pas vrai, les enfants disent la vérité, mais vous devez être disposé à l’entendre.

– Voix off : Noémie a été initiée par son père et par d’autres criminels, des hommes de toutes sortes de milieux, aux pratiques barbares qui avaient lieu en face d’une caméra (…) Noémie avait 5 ans lors des premiers abus, elle a perdu sa virginité à l’âge de 8 ans.

– Noémie : C’est allé très vite et brutalement. Ils l’ont juste fait pour moi et ma cousine Camille. Un jour mon père m’a emmené chez ma cousine, j’aimais y aller parce que je l’aimais beaucoup. Mon oncle André était là ainsi que les cousines Camille et Marie. Et puis ça s’est fait (…)

– Voix off : Le père de Noémie la comblait de mots tendres, il la rassurait en lui disant que les attouchements étaient parfaitement normaux ; elle le croyait. Et puis il lui a révélé son grand secret : un complexe, une cave souterraine où il gardait des enfants dans des cages. Noémie devenait ainsi la complice de son père.

– Noémie : Les enfants enfermés dans ces cages ne restaient jamais longtemps en vie, entre la torture et le viol, les enfants étaient finalement assassinés. Ils étaient tous seuls là-bas, ils ne pouvaient pas s’échapper, parce qu’ils étaient trop battus, trop violés ou trop drogués… ou morts (…)
Mon père et d’autres hommes avaient déjà violé la petite fille. Quand je suis entrée, j’étais un peu jalouse parce que je savais que mon père avait également participé à ça. Mais ensuite, j’ai été satisfaite, probablement parce que je pouvais assister à la cérémonie et de tous les enfants qui appartenaient à ce réseau pédophile et qui ont été violés par ces hommes, j’étais la seule qui était autorisée à regarder les viols. Ainsi, au lieu d’être simplement abusée, je pouvais participer aux abus. Ils m’ont ordonné de faire bouillir de l’eau et de la verser sur l’enfant. Pendant ce temps, ils la frappaient, d’abord avec une ceinture, puis avec un morceau de bois. Ils ont mis des cigarettes sur son corps et lui ont coupé les cheveux. Ils m’ont ordonné de couper le clitoris de la petite fille. Je ne savais pas ce que c’était, ils m’ont montré en me disant « coupe ici ! ». Mon père m’a dit que je devais le faire, puis il m’a montré où couper.

– Voix off : Noémie parle d’une dizaine de meurtres d’enfants en une année. Elle montre les entrées de souterrains sur une carte. La justice continue de nier que de tels complexes souterrains, des catacombes, existent à Saint-Victor (Ardèche).

– Jacques Berthelot : J’ai été à Saint-Victor, il y a des tunnels souterrains là-bas. J’ai eu la chance de pouvoir les prendre en photos. J’ai donné ces photos à la police de Privas, à M. Marron. Il a promis qu’il allait mettre mon témoignage dans les rapports de police. J’ai été entendu par la police en avril 1999. Mais aujourd’hui, le dossier semble avoir été soudainement perdu. Mes photos et mes dépositions à la police sont introuvables.

– Voix off : Pourquoi les auteurs présumés ne sont pas traduits en justice ? Après avoir mené plusieurs années d’enquête, j’en arrive à une conclusion. Parmi les coupables, nombreux sont ceux qui exercent dans les hauts postes, ils ont le pouvoir de se couvrir les uns les autres et de plus il y a beaucoup d’argent d’impliqué. Noémie dit au sujet des enfants qu’ils sont maltraités, torturés, violés et sacrifiés face à une caméra. Ces snuff-films se vendraient jusqu’à 20 000 euros pièce.

– Noémie : Quand je suis rentrée, les rideaux étaient fermés, il faisait noir. Il y avait des tapis sur le plancher, on m’a dit de m’asseoir, je me suis assise à une table. Les prêtres étaient debout avec des bougies… Ils portaient des robes rouges sombres, presque noires. Ils chantaient autour de la table. Ça a duré longtemps… Il y avait quelque chose qui était recouvert d’un tissu de la même couleur que leurs robes. Il y avait un enfant, mon grand-père l’a prit dans ses bras, mon frère Pierre était à côté de moi. Mon grand-père a ensuite montré à mon frère comment tuer l’enfant. Et puis évidemment l’enfant a commencé à crier… puis ils ont dit quelques prières, et on est sorti. Après 45 minutes ou une heure, je ne me souviens pas exactement, ils sont sortis. Les cérémonies se terminent toujours de la même manière. La première messe noire que j’ai vu, c’était à peu près la même chose, il y avait le sacrifice de l’enfant et à la fin sur la terrasse il y avait deux grandes assiettes… avec de la chair… de la viande, maintenant je sais que c’était de la chair humaine.

– Journaliste : Vous êtes sûr qu’il s’agissait de chair humaine ?

– N : Oui, j’en suis sûre, cela faisait partie du culte. Vous faites partie de ce culte sans vous en apercevoir, tout ce que vous avez à faire est d’assister à une cérémonie et d’effectuer certains rituels. Mais moi je n’en avais pas conscience quand c’est arrivé. Maintenant avec le recul, je pense à toutes ces choses qu’on m’a fait faire sur d’autres enfants pendant les rituels, comme de couper des parties de leurs sexes. (…)

– J : L’aboutissement de ces rituels une fois terminé n’est rien d’autre que du cannibalisme ? –
– N : … hmm …
– J : C’est du cannibalisme ?
– N : Oui.

– Voix off : Après avoir parlé à la psychologue, je prends conscience que le père de Noémie avait dû la programmer à un âge précoce. Noémie ne pouvant pas supporter les atrocités qu’elle endurait s’est fractionnée en différentes personnalités. L’une de ces personnalités est un robot qui suit son père mécaniquement et puis il y a la fille qui joue avec ses poupées à la maison.

– La psychologue : Il y a de multiples facteurs dans son histoire qui font que pour moi, elle est absolument crédible. Le premier est le fait qu’aujourd’hui à l’âge de 18 ans, elle a raconté de façon identique la même histoire qu’à l’âge de 11 ans. Le deuxième point est qu’elle décrit tous les détails et elle ne se contredit jamais. Elle ne donne jamais deux versions différentes de tout ce qui s’est passé. De plus elle m’a donné la même impression que d’autres personnes traumatisées que j’ai rencontré, c’est à dire ce même détachement dans la façon qu’elle a de parler de ses expériences traumatisantes. Cela semble paradoxal, mais c’est exactement cela qui me fait penser que ce qu’elle dit est la vérité… Elle semble parfaitement normale malgré son passé, elle a besoin de garder cette distance, sinon elle s’effondrerait. Je ne doute pas du tout de son histoire.

– Pierre (le frère de Noémie) : Les fenêtres sont fermées, tout est fermé, les rideaux tirés et les stores baissés. Les enfants sont ligotés sur des chaises, les mains derrière le dos. Ils sont bâillonnés pour ne pas parler ou crier. Dans cette pièce il y avait mon père, Christian N. le propriétaire du lieu, André D. et André L. Tous ceux là étaient présents aux deux séances auxquelles j’ai été forcé de participer. Ce qu’il se passe : premièrement les enfants sont violés, l’enfant est presque mort, il gît par terre… Mon père prend sa ceinture et frappe l’enfant, partout, sur le visage et sur le corps. Tout le monde y passe. Ils frappent l’enfant avec un manche à balai et après ils me disent que maintenant c’est à mon tour. Moi je ne veux pas… parce que c’est comme si j’étais là, sans être là (ndlr : dissociation). Ils me prennent et me disent vas-y fais le ! Fais le ! Je ne pouvais rien faire, il n’y avait aucune échappatoire. Je devais le faire, ils me l’ordonnaient. Je l’ai frappé quoi… 10 secondes et puis je suis parti.

– Voix off : Pierre n’a pas seulement été abusé sexuellement par son père mais pire encore. Son grand-père paternel, un grand prêtre d’une secte le viole également. Depuis l’âge de 5 ans, Pierre est programmé par son grand-père.

– Pierre : Il me dit que je suis l’élu, qu’un jour je lui succéderai et que je vais rentrer dans un cercle de personnes importantes qui seront ma nouvelle famille. Il me dit qu’un jour je serai moi aussi un grand-prêtre et que c’est une grande chance pour moi. Naturellement j’y croyais comme un petit enfant de 5 ans. Puis arrivent effectivement des cérémonies, elles existent vraiment et des gens y participent. Ils m’ont expliqué des rituels, des messes, des prières (…)

– Pierre décrit la cérémonie d’initiation qu’il a vécu à l’âge de 7 ans: La cérémonie a commencé comme toujours avec des chants et des prières. On priait sur des tapis rouges, un tapis rouge pour chacun des participants. J’étais toujours à côté de mon grand-père, les autres prêtres ensemble. On suivait une certaine chronologie entre les chants et les danses. On a fait ça pendant environ 20 minutes. Ensuite ma grand-mère, qui ne fait pas vraiment partie de la secte, qui ne participe jamais aux grandes cérémonies, a apporté un bébé qu’elle portait dans ses bras. Elle a donné le bébé à ma marraine Collette. Collette s’est alors dirigée vers nous et a donné le bébé à mon grand-père. Il a fait quelques signes que je ne comprenais pas, ensuite ils se passèrent le bébé les uns aux autres de main en main, jusqu’à ce qu’il revienne dans les mains de mon grand-père. Mon grand-père a redonné le bébé à ma marraine, après il a sorti un couteau assez long, avec des symboles et des pictogrammes gravés sur le manche. Là aussi le couteau est passé de main en main… Et là j’avais le couteau dans la main, mes parrains tenaient le bébé… Mon grand-père m’a prit la main, on s’est approché du nouveau-né et on lui a tranché la gorge. Le bébé n’a fait aucun bruit, il n’a même pas crié. Il s’est vidé de son sang et le sang était récupéré avec une coupelle, une sorte de grosse coupe…..

– Voix off : L’initiation d’un nouveau membre se passe toujours selon le même rituel. À chaque fois les nouveaux membres reçoivent l’ordre de tuer. Cela doit les rendre plus forts et ils doivent jurer de garder le silence. Nous pensions avoir atteint l’abomination… Mais Pierre nous a décrit un autre rituel pratiqué par cette secte : le cannibalisme.

– Pierre : Ma grand-mère apporta un grand plateau, il y avait les sept prêtres, on était dix en tout autour de la table. Après on a été servi avec un morceau de viande provenant du bébé. On devait le manger pour célébrer mon arrivée en tant que nouveau prêtre de la secte. Il y avait aussi un verre où il y avait le sang. On devait manger et boire, on a bu le sang. Mon grand-père récita une prière au début et une autre à la fin. Il m’a félicité en me disant que j’avais été très bien, il m’a flatté en me disant que j’étais le meilleur etc…

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