mardi 30 septembre 2025

QU'EST CE QUE TOUT CA VEUT DIRE ?

 Cette photo Getty de axios Aujourd'hui, nous découvrons toute l'histoire du spectacle incroyablement insultant et puéril de Trump et Hegseth, présenté aujourd'hui devant des dirigeants militaires américains visiblement embarrassés. Une pléthore de médailles de bravoure dans cette salle, et pas celles qu'on reçoit pour de faux éperons osseux.

Une mise en scène sans précédent. Dans un discours d’une rare violence politique, devant les 800 plus hauts gradés américains convoqués à Quantico, Donald Trump a appelé aujourd'hui les généraux et amiraux américains à se mobiliser contre "l’ennemi de l’intérieur", en attaquant les immigrés sans papiers, la presse et ses opposants politiques. Le président américain a ciblé San Francisco, Chicago, New York et Los Angeles, qu’ils considère comme des "ennemis de l’intérieur", les villes "gérées par les démocrates de la gauche radicale", que "nous allons les remettre en ordre une par une". Sa décision de déployer des militaires dans plusieurs villes, selon lui pour lutter contre la criminalité et l'immigration illégale, a été très critiquée par l'opposition démocrate et par des associations de défense des libertés publiques.

EFFET STREISAND

 

PORTE DE SORTIE ?

 https://lemediaen442.fr/netanyahu-accepte-le-plan-de-paix-de-trump-pour-gaza-et-presente-ses-excuses-au-qatar/

Netanyahu accepte le plan de paix de Trump pour Gaza et présente ses excuses au Qatar

Donald Trump a présenté un plan de paix en 20 points pour Gaza, accepté par Israël mais pas encore par le Hamas. Il prévoit fin immédiate des combats, libération des otages, échange de prisonniers et gouvernance internationale temporaire.

Donald Trump a présenté à Washington un plan de paix en 20 points pour mettre fin à la guerre entre Israël et le Hamas et organiser l’avenir de Gaza. Soutenu par plusieurs pays arabes et musulmans, le projet prévoit la fin immédiate des combats, la libération des otages israéliens sous 72 heures, l’échange de prisonniers palestiniens, et la mise en place d’une autorité de transition « technocratique », sans rôle pour le Hamas ni l’Autorité palestinienne. Un comité dirigé par Trump, avec Tony Blair, en assurerait la supervision.

Israël a accepté le plan, Netanyahu parlant d’une « opportunité historique », tout en réaffirmant vouloir maintenir la sécurité à Gaza et exclure le Hamas. Il a menacé de reprendre les opérations si ce dernier refuse. Le Hamas, qui rejette toute exclusion politique et le désarmement exigé, n’a pas encore donné sa réponse.

Le projet est salué par les familles d’otages, l’Autorité palestinienne, plusieurs pays arabes, l’UE, la France et le Royaume-Uni. Mais il divise la coalition de Netanyahu et suscite le rejet du Jihad islamique.

Dans ce contexte tendu, Netanyahu a même dû présenter des excuses au Qatar après une bavure israélienne, alors qu’Israël fait face à un isolement diplomatique croissant et à une fragilité politique interne.

Le présent document propose un cadre global de sortie de crise et de reconstruction pour la bande de Gaza. Il repose sur une logique en trois étapes indissociables : mettre fin aux hostilitésgarantir la sécurité et la démilitarisation de la région, et lancer un vaste processus de réhabilitation et de développement économique au bénéfice de la population gazaouie.

WIKIPEDIA

 Derrière la façade collaborative de Wikipédia, une communauté verrouillée ?

Créée en 2001, Wikipédia s’est imposée comme la référence encyclopédique mondiale. Avec plus de 6,7 millions d’articles en anglais, 2,5 millions en français, et une centaine de langues représentées, le projet incarne à première vue un idéal : celui d’un savoir libre, universel, accessible et écrit par tous. Pourtant, derrière cette vitrine d’ouverture, se dessine une réalité bien plus complexe.

De nombreux contributeurs dénoncent aujourd’hui un fonctionnement opaque, contrôlé par une minorité ultra-active, qui impose sa vision de ce qui peut – ou non – entrer dans l’encyclopédie. Certains vont jusqu’à qualifier ce système d’élitiste, voire de sectaire. Enquête sur les coulisses de la plus consultée des encyclopédies.

Une minorité très active qui fait la loi

Contrairement à ce que laisse penser son principe fondateur – « l’encyclopédie que chacun peut améliorer » –, Wikipédia repose en réalité sur un noyau réduit de contributeurs. Selon les données de la Wikimedia Foundation, moins de 1 % des utilisateurs actifs effectuent plus de 75 % des modifications sur la plateforme.

Ces contributeurs chevronnés, parfois appelés « wikipédiens », connaissent parfaitement les règles du jeu. Ils maîtrisent les critères d’admissibilité, les procédures de suppression, les pages de discussion, les codes de mise en forme, et surtout, les rapports de force internes. Ils agissent souvent en modérateurs officieux, relisant, corrigeant, ou supprimant les contributions des autres.

Pour les nouveaux venus, le parcours peut vite devenir décourageant.

« J’ai voulu créer un article sur une personnalité scientifique peu connue, mais importante dans son domaine », raconte Marie*, chercheuse en biologie. « L’article a été supprimé en moins de 24 heures. On m’a dit que le sujet n’était pas admissible selon les critères. J’ai eu beau fournir des sources, rien n’y a fait. »

Des règles complexes, parfois arbitraires

Wikipédia repose sur plusieurs grands principes : la neutralité de point de vue, la vérifiabilité, l’interdiction du travail inédit, et l’obligation de s’appuyer sur des sources fiables. Des fondements nécessaires pour limiter les biais et éviter la désinformation. Mais dans leur application, ces règles laissent parfois place à des interprétations subjectives.

« Le problème, ce n’est pas qu’il y ait des règles, c’est qu’elles sont appliquées de manière inégale », estime Julien, ancien administrateur de Wikipédia. « Ce qui passe pour un article peut être refusé ailleurs pour des raisons similaires. Beaucoup de décisions dépendent de qui intervient dans le débat. »

Les procédures de suppression sont également critiquées pour leur rapidité. Un article peut être supprimé sans préavis s’il est jugé non conforme. Et pour contester la décision, il faut engager une discussion communautaire, fréquemment technique et chronophage.

Un espace difficile d’accès pour les non-initiés

Ce fonctionnement favorise de fait les contributeurs expérimentés. Les novices, eux, doivent franchir une série d’obstacles : comprendre les attentes éditoriales, adopter le ton encyclopédique, savoir citer les bonnes sources, éviter toute impression de promotion personnelle. Une tâche d’autant plus ardue qu’un ton mal calibré ou une source jugée trop faible peut suffire à invalider un article entier.

Cette situation a vu naître un marché parallèle : celui des professionnels de Wikipédia. Agences de communication, rédacteurs spécialisés, consultants indépendants proposent désormais leurs services pour rédiger, corriger ou publier des articles dans les règles de l’art. Leur promesse : contourner les écueils du système et garantir une certaine stabilité à la page.

Une dérive paradoxale pour une encyclopédie qui se veut gratuite, ouverte et collaborative.

Les accusations d’élitisme se multiplient

La montée en puissance de ces services témoigne d’un malaise plus large. De nombreux observateurs dénoncent un entre-soi wikipédien. Une sorte de microcosme éditorial, peu représentatif de la diversité des savoirs ou des usages de la société.

« On est en train d’assister à une forme de confiscation du savoir », alerte une contributrice active qui souhaite rester anonyme. « Ce ne sont plus les compétences ou l’expertise sur un sujet qui priment, mais la capacité à manier les outils internes de la plateforme. »

En filigrane, la question de la légitimité. Pourquoi une poignée de bénévoles, sans toujours d’expertise dans les domaines concernés, auraient-ils le dernier mot sur la présence ou non d’un contenu encyclopédique ?

La Wikimedia Foundation rappelle de son côté que toute modification peut être discutée publiquement, et que le système repose sur un consensus communautaire.

Mais dans les faits, ce consensus est difficile à atteindre lorsqu’il faut affronter des contributeurs qui cumulent plusieurs milliers – voire dizaines de milliers – d’éditions à leur actif.

Des limites connues, mais peu débattues

Ces critiques ne sont pas nouvelles. Dès 2005, la revue Nature saluait la qualité de Wikipédia, tout en notant ses fragilités. Depuis, les controverses se sont multipliées : suppressions jugées abusives, conflits d’intérêts dissimulés, luttes d’influence sur certaines pages sensibles, etc.

Pour autant, Wikipédia reste massivement utilisée, et dans bien des cas, fiable. Des millions d’articles, souvent bien sourcés et régulièrement mis à jour, en font un outil précieux. Mais ce succès ne doit pas masquer les angles morts du système.

Peu de discussions publiques sont engagées sur les mécanismes internes de gouvernance. La Wikimedia Foundation, qui héberge la plateforme, adopte une posture neutre : elle fournit les moyens techniques, mais laisse la communauté gérer elle-même le contenu. Un choix qui renforce l’autonomie... et l’hermétisme de cette dernière.

Peut-on améliorer le modèle ?

Faut-il revoir les critères d’admissibilité ? Introduire davantage d’experts externes dans les prises de décision ? Rendre plus transparentes les suppressions ? La question de la réforme du modèle Wikipédia reste ouverte.

Plusieurs initiatives cherchent à contourner ses limites. D’autres plateformes, comme Citizendium ou Scholarpedia, misent sur une validation par des experts.

Des projets comme Wikiwand cherchent à améliorer l’expérience utilisateur. Mais aucun ne rivalise, à ce jour, avec l’audience et la puissance de Wikipédia.

Reste une alternative : renforcer la médiation. Offrir plus d’outils aux nouveaux contributeurs, faciliter l’intégration de contenus proposés par des institutions scientifiques ou culturelles, et surtout, encourager une culture du dialogue plutôt que de la sanction.

Un projet collectif à réinventer ?

Le paradoxe de Wikipédia est là : ce qui devait être une encyclopédie ouverte est en train de devenir un bastion éditorial. Non pas fermé par une logique commerciale, mais par une culture communautaire de plus en plus technique, procédurale, et difficile d’accès pour les non-initiés.

Le modèle fonctionne. Mais pour combien de temps ? Si la plateforme veut rester fidèle à sa vocation de départ – partager le savoir avec le plus grand nombre –, elle devra peut-être, un jour, s’interroger plus franchement sur sa gouvernance.

En attendant, le message est clair : pour contribuer efficacement à Wikipédia, il ne suffit plus de savoir. Il faut aussi – et surtout – savoir comment faire.

https://www.legrandsoir.info/derriere-la-facade-collaborative-de-wikipedia-une-communaute-verrouillee.html

FALLAIT PAS

 

ANTI VAX ?

 

AYEZ PEUR

 

DEPLOIEMENTS

 



lundi 29 septembre 2025

SONDAGE

 

Hoooo mon dieu ! Clucksman devant Méluche ? La trahison d'une partie de la gauche..... 

DIT IL....

 "L'arc de l'univers moral est long, mais il tend vers la justice. Sauf qu'il ne se courbe pas tout seul ; il se courbe parce que nous le tirons vers la justice. Ce qui me garde espoir en des temps comme ceux-ci, c'est d'être entouré de personnes qui agissent précisément dans ce sens."


LES KHAZARS

 Comme nous le savons tous, chaque prison et pénitencier a besoin d'un gardien. La planète Terre est en réalité une prison financière et un pénitencier économique depuis près de 6 000 ans. C'est pourquoi certains des principaux calendriers civilisationnels et culturels du monde suivent une période similaire, approchant désormais les 6 000 ans. Voici ce qui suit :

Année hébraïque actuelle : 5 786 
Calendrier maya à compte long terminé en 2012 : 5 125 ans de long
Calendrier hindou : Le Kali Yuga a maintenant 5 138 ans

Eh bien, le directeur de cette prison mondiale, choisi pour des raisons clairement exposées ci-dessous, est le Peuple Élu . Autrement dit, ceux qui se prétendent être le « Peuple Élu » sont en réalité un « Peuple Élu » par leur dieu extraterrestre EBE, Yahweh, pour verrouiller la planète Terre et la gérer comme un pénitencier planétaire permanent (administré par des manœuvres financières et économiques à tout va), qu'ils ont laborieusement fabriqué au cours des 5 000 dernières années.

C'est là que l'histoire devient vraiment intéressante.

Il n’est pas surprenant que la communauté internationale soit aujourd’hui si concentrée sur deux énormes points chauds géopolitiques : l’Ukraine et Israël.

#1 — Israël est le lieu d’origine du peuple élu  , sauf que ce n’est pas vraiment le cas : en réalité, il vient d’Égypte (mais c’est une autre histoire pour un autre jour).

#2 — L'Ukraine est le berceau des Juifs ashkénazes et séfarades, issus de siècles de diaspora du Khaganat khazar après sa conquête par Sviatoslav Ier Igorévitch, prince de Kiev. Considéré comme le plus grand des princes varègues du début de l'histoire russo-ukrainienne, son plus grand exploit fut la victoire sur les Khazars.

« Le prince Sviatoslav a vaincu le khaganat khazar vers 965 de notre ère, détruisant la ville khazare de Sarkel et plus tard la capitale d'Atil, mettant ainsi fin au pouvoir impérial khazar. »

Il devrait maintenant être très clair pourquoi il existe une querelle familiale aussi longue et sanglante entre les Khazars, toujours bellicistes et cryto-juifs, et le peuple chrétien Rus'.

Ce qui nous amène à la situation actuelle, où se jouent les mouvements et manœuvres les plus monumentaux de l'échiquier géopolitique mondial. Cependant, avant d'y aller, voici un rappel historique essentiel : les serpents du capitalisme prédateur et du communisme kleptocratique se dévorent entre eux avant de se dévorer eux-mêmes.


Résumé exécutif

*Le terme « oligarque » est utilisé à plusieurs reprises dans le résumé suivant. Tous les oligarques du monde entier, quelles que soient leur nationalité ou leurs convictions politiques, sont spécialement choisis par la  Cabale khazar  pour incarner les différents syndicats du crime internationaux. Ainsi, les multiples organisations mafieuses et leurs parrains mafieux sont tenus à l'écart, tandis que les oligarques de renommée mondiale leur servent de prête-noms. (L'arrestation stupéfiante de l'oligarque khazar Ihor Kolomoisky, autrefois l'un des plus puissants d'Ukraine et un des principaux soutiens de Volodymyr Zelensky, témoigne de la réalité crue de l'oligarchie ploutocratique actuelle et du fait que même eux sont largement remplaçables.)

La Cabale Khazar  possède des branches organisationnelles très visibles, mais invisibles, au sein de toutes les principales puissances militaires mondiales. Les quatre ou cinq branches les plus puissantes peuvent avoir des objectifs géopolitiques et géostratégiques divergents, ainsi que des objectifs financiers et économiques contradictoires. Parfois, ces ambitions divergentes les placent en opposition directe (comme on le voit aujourd'hui en Ukraine)  . 

Par  exemple, les oligarques khazars de Russie ont des objectifs en Ukraine, tout comme ceux des États-Unis et d'Ukraine. Il existe également des oligarques khazars d'Europe qui s'alignent sur les oligarques ukrainiens, mais pas sur ceux des États-Unis ou de Russie. C'est précisément pourquoi nous voyons aujourd'hui les sionistes néoconservateurs américains qui dominent l'administration Trump faire cause commune avec l'administration conservatrice de Poutine, étroitement liée à la secte orthodoxe Habad-Loubavitch du judaïsme hassidique et à son grand rabbin de Russie, Berel Lazar, nommé politiquement.

Différentes  guerres et batailles font actuellement rage dans cette guerre mondiale pour les ressources, notamment la terre et l'eau, les centrales électriques et les ports, l'or et l'argent, l'uranium et les diamants, le pétrole et le gaz, les terres rares et les métaux précieux, en Ukraine. Car quiconque contrôle le territoire contrôle la terre, l'eau, ainsi que toutes les ressources naturelles et les infrastructures vitales. L'Ukraine possède de nombreuses richesses dans tous ces domaines et, par conséquent, elle est soumise à des pressions considérables de la part des groupes rivaux d'oligarques khazars, qui cherchent chacun à s'approprier le contrôle maximal de cette zone géographique infortunée.

Ce  qui rend le champ de bataille ukrainien si tumultueux et épineux, et qui échappe constamment à toute résolution durable, c'est que chacun des acteurs oligarchiques, individuellement ou en collusion, tente cette fois le tout pour le tout. Les oligarques russes, conscients de menaces existentielles, estiment n'avoir d'autre choix que de remporter cette guerre épique. Les oligarques ukrainiens sont également menacés d'extinction, plusieurs ayant déjà perdu leurs empires commerciaux. Les oligarques américains veulent tout, comme toujours, et estiment n'avoir que peu à perdre, à l'autre bout du monde. De même, les  architectes du Grand Jeu  – oligarques britanniques et banquiers londoniens – veulent tout et refusent désormais de partager quoi que ce soit avec leurs anciens complices américains, dont ils se sont séparés après l'arrivée de Trump au pouvoir. Les oligarques européens (c'est-à-dire basés dans l'UE) sont tellement divisés, ce qui est particulièrement déterminé par leur proximité géographique et leur relation historique avec l'Ukraine ainsi que par d'autres considérations commerciales conflictuelles, qu'ils manquent de toute unanimité significative sur la manière de voler discrètement ce pays.

Pour  compliquer encore les choses, cette guerre des ressources aux multiples facettes implique plusieurs strates politiques, bien trop complexes pour être analysées même par un analyste géopolitique avisé. Par exemple, les États-Unis comptent deux groupes d'oligarques khazars diamétralement opposés, en compétition acharnée depuis que Donald Trump a annoncé sa candidature à la présidence des États-Unis en juin 2015. C'est à ce moment-là que cette guerre finale, entre les capitalistes prédateurs bellicistes et les communistes kleptocrates, a atteint un tel niveau d'intensité que la communauté internationale tout entière a commencé à ressentir le même conflit, à des degrés divers. Autrement dit, on oppose le camp communiste d'Obama-Biden au camp fasciste de Trump, chacun luttant pour la suprématie totale sur l'Ukraine pour des raisons à la fois similaires et différentes.

L' ascension du marxiste ultra-culturel George Soros et du capitaliste ultra-capitaliste Elon Musk illustrent parfaitement la manière dont cette dynamique financière, politico-économique pluriséculaire se joue sur la scène mondiale en 2025. Tandis que Soros, l'archi-Khazarien, ostensiblement ultra-libéral, représente l'aile communiste de la  Cabale khazar , Musk, qui s'est fait passer pour le plus riche du monde, a été méthodiquement désigné comme le chef du camp fasciste et le parangon de l'oligarchie ploutocratique. Ces deux personnages khazars, mieux que quiconque, incarnent avec brio ce  théâtre kabuki khazar en activité permanente  , se produisant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 sur toutes les scènes des médias grand public du monde, afin de maintenir chaque habitant de la Terre enfermé dans le conflit politique gauche-droite. Bien sûr, Donald Trump, figure emblématique du MAGA, est également présent aux côtés d'Elon Musk (véritable DOGE vénitien des temps modernes), jouant son rôle de principal prédateur et capitaliste du désastre de la planète, les transformant en une équipe imbattable. Ainsi, la phase finale de cette longue guerre historique entre communistes et fascistes, qui a débuté avec la Première Guerre mondiale, pourrait bien culminer avec une troisième guerre mondiale nucléaire. Voir :  ELON MUSK : Le doge juif aux profondes racines khazares

Il  est également crucial de comprendre que l'Ukraine occupe aujourd'hui les territoires orientaux du Khaganat khazar durant la seconde moitié du premier millénaire. Après la conversion forcée des Khazars au judaïsme et leur conquête ultérieure par le prince russe Sviatoslav Ier de Kiev vers 965 apr. J.-C., la première d'une série de diaporamas eut lieu, qui vit les peuples khazars migrer sur tout le continent eurasien, notamment vers l'est, en Russie, et vers l'ouest, en Europe. Ce fut le début des différentes factions khazares qui allaient se former au sein du nouveau collectif religieux pseudo-judaïque connu sous le nom de judaïsme ashkénaze (aussi appelé Ashkénazes). Bien qu'ils formaient un groupe extraordinairement uni par une persécution et une oppression incessantes au fil des siècles (toutes auto-infligées), c'est leur quête criminelle innée de richesse et de pouvoir qui distingua les Ashkénazes khazars comme des larrons en foire. Plus tard au XIXe siècle, la force centripète qui les maintenait soudés était leur entreprise débordante de zèle, connue sous le nom de sionisme, qui se manifesta par le projet dévastateur  du Grand Israël  . Cependant, les voleurs ne s'entendent bien que tant qu'ils ont besoin les uns des autres pour perpétrer leurs crimes massifs, qui incluent invariablement des actes de terrorisme, des génocides et des guerres odieux.

« Plus de 250 millions de personnes ont été impitoyablement massacrées depuis 1900 lors de la création de l’État sioniste d’apartheid d’Israël. »

— Historiens révisionnistes pour la paix mondiale  (Citation de  L'agenda secret derrière le plan de paix de Trump pour le Moyen-Orient )

Le champ de bataille actuel en Ukraine (qui fait rage depuis la révolution colorée coordonnée par la CIA sur la place Maïdan-Nezalezhnosti à Kiev) est d' une  importance capitale. Il a été délibérément transformé en un gigantesque champ de bataille par les différents clans khazars. Chacune de ces factions nourrit ses propres ambitions illusoires pour reprendre sa patrie ancestrale, qui existait il y a plus de mille ans sous le nom de Khaganat khazar. Pour atteindre cet objectif néfaste, l'Ukraine a dû être purgée de ses citoyens, en particulier des hommes en âge de combattre, qui pouvaient constituer un obstacle sérieux au projet farfelu de prise de pouvoir khazar. Cela signifie que le monde entier assiste depuis 2014 à différents types de génocides hautement organisés d'Ukrainiens de souche, à commencer par les russophones qui peuplaient le Donbass. L'autre génocide majeur concerne les nombreux Ukrainiens slaves et chrétiens qui ont été, et sont encore, cruellement enrôlés de force dans les divers champs de bataille « hachoirs à viande » disséminés dans l'est du pays. Ce plan de nettoyage ethnique furtif a également contraint des millions d'Ukrainiens, en particulier des hommes, à immigrer en Europe, au Canada, en Australie et aux États-Unis (par exemple, les politiques de conscription extrêmement agressives et souvent violentes de Zelensky ont effrayé de nombreux conscrits potentiels, les poussant à tenter tous les moyens de s'échapper, aussi précaire soit-il pour traverser la frontière).
CONCLUSION : Tout porte à croire que cette lente restauration de l'Ukraine à ses anciens propriétaires khazars est planifiée par le « messie » de Chabad Loubavitch, le rabbin Menachem Mendel Schneerson. À LIRE :  GUERRE RUSSO-UKRAINIENNE : Un nettoyage ethnique et un génocide ordonnés par un faux messie Chabad mort.

La guerre russo-ukrainienne étant essentiellement une guerre entre les oligarques khazars les plus riches et les plus puissants, eux seuls peuvent y mettre fin. Ce qui signifie que l'Ukraine deviendra soit la poudrière qui  déchaînera une véritable Troisième Guerre mondiale, soit un environnement totalement nouveau où d'anciennes vendettas seront définitivement réglées. La « plus grande vendetta de tous les temps » à l'origine de ce conflit interminable concerne la  Cabale khazare, extrêmement russophobe  , et son implacable haine de tout ce qui est russe. Les Khazars ne se remettront jamais de leur humiliante défaite face aux troupes rus' menées par Sviatoslav Igorevich lors de la campagne de 964-965, qui vit le pillage des plus grandes villes khazares, entraînant la disparition du Khaganat khazar. Il y a aussi le « Grand Schisme de 1054 », querelle entre l'Église catholique romaine (une institution khazare quasi religieuse) et l'Église orthodoxe russe, connue sous le nom de Patriarcat de Moscou. Ce conflit millénaire incessant alimente insidieusement la première vendetta, comme l'a démontré l'interdiction tyrannique par Zelensky de l'Église orthodoxe ukrainienne du Patriarcat de Moscou. Cependant, il est crucial de comprendre que ces deux conflits, immenses mais à sens unique, sont instrumentalisés avec cynisme par les Khazars pour entraîner l'ensemble de l'axe sio-anglo-euro-américain dans une guerre mondiale contre la Russie afin de conquérir et de voler ce pays tout entier. La  mafia khazar  a toujours rêvé de s'emparer des richesses naturelles de la Russie, estimées à la somme faramineuse de 75 000 milliards de dollars (ce qui en fait un leader mondial des ressources naturelles, notamment du charbon, du pétrole, du gaz naturel et des terres rares).

Comme  mentionné précédemment, les modèles de capitalisme prédateur et de communisme kleptocratique ont été mis en place par la  Cabale khazar . Cependant, c'est le  Père du mensonge qui dicte chaque action de la Synagogue de Satan, à l'origine de cette stratégie militarisée de la « dialectique hégélienne ». En tant que principal adepte du « diviser pour régner », le Satan suprême a créé le capitalisme prédateur et le communisme kleptocratique pour les dresser l'un contre l'autre. De cette façon, le monde entier est maintenu dans un état de chaos, de confusion et de conflit perpétuels, tandis que les nations, grandes et petites, oscillent entre ces deux polarités politico-économiques diamétralement opposées. Ce à quoi le monde assiste en 2025, une fois le pendule politique à son apogée, est un affrontement cataclysmique entre capitalistes et marxistes, entre fascistes et communistes, entre sionistes et bolcheviks. C'est alors que les deux faces d'une même fausse pièce khazar « se dévorent d'abord entre elles avant de se dévorer elles-mêmes ». . Parce que chaque système d'économie politique, pourtant fatalement imparfait, contenait les germes de leur autodestruction, ce n'était qu'une question de temps avant que ce point culminant ne soit atteint. Ils commenceront par s'entretuer (par exemple, Trump contre Biden), avant de poursuivre leur propre destruction par une guerre intestine dévastatrice jusqu'à leur fin définitive.

ADJUGÉ, VENDU

 

La globalisation et la surveillance numérique s'étend.....  

COMPTE A REBOUR

 Rentrée catastrophique pour Delphine Ernotte et Stéphane Sitbon-Gomez

France 2 signe son pire mois de septembre depuis 8 ans : 13,7% de part d'audiences (-1,7 point sur 1 an)


France Info et France 4 (canal 4) perdus dans les tréfonds de la TNT : 1,1% et 1%

Mais c'est pas grave puisque c'est Nicolas qui paye, même les 53 voitures de fonctions (selon la cour des comptes) !

INCOHERENCE

 La cohérence, c'est quand on se lance dans une reconnaissance de l'état de Palestine mais qu'en l'état, ce serait donner une forme de légitimité à certains antisémitismes arabos musulmans. Et donc, rétro pédalage mais qui finalement propose de remplacer une colonisation forcée, par une autre !

DONNEUR DE LECONS

 "Moi qui n'ait hérité de rien".

Vous êtes sûr, Mr Pigasse ?

En premier lieu, votre famille s’était déjà largement forgée un nom dans l’édition avant vous. Mais surtout, votre héritage, c’est aussi l’histoire : en 1942, votre grand-père, Me Jules Joseph Auguste PIGASSE, bâtonnier à Toulouse, exaltait publiquement la Charte du travail — texte de Vichy instauré par le maréchal Pétain en 1941, qualifié d’« acte révolutionnaire » destiné à assurer la « paix sociale indispensable » — devant un auditoire de la Légion, cette organisation qui servait de vivier de recrutement pour la Milice.

Une Charte qui, concrètement, signifiait la dissolution des syndicats et l’interdiction de la grève.

KARMA

 Le directeur du FBI, Kash Patel, vient de LICENCIER les agents qui s’étaient agenouillés pendant les émeutes de George Floyd en 2020, selon l’AP.


LUNAIRE

 

LA SIMPLICITUDE

Les derniers films de Marina Fois sortis en 2025.. "Je le jure" 50 000 entrées - "Magma" 45 000 entrées 
"Captive" 100 000 entrées. Salaire de la dame pour ces films ?



Scène dans un jardin, un soir d’été. 

Fête des voisins.


– Marina & Julien, la quarantaine, progressistes : « Nous, on croit à la diversité, on veut un monde ouvert… »

– Marc & Sophie, voisins, la trentaine, de la maison de droite : « Nous, on espère que le futur maire sera RN. À l’école primaire du coin, on parle arabe à la récré, c’est plus possible ! Et le nombre de mères voilées ! Il paraît même qu’ils veulent construire une mosquée… »

– Marina : « Franchement, votre discours est flippant. Zemmour, le « grand remplacement », c’est de la parano identitaire. Tout le monde a le droit de vivre ici ! »

– Marc : « Peut-être… mais vos enfants, ils sont dans l’école privée du centre-ville, non ? Pas dans celle du quartier… il y a même désormais des enfants de migrants ! Vous le saviez ?»

– Silence. Marina et Julien se regardent : « Oui… mais on veut juste le meilleur pour eux. Et le problème n’est pas notre choix. C’est… »

(La soirée fut brève.)


Analyse.

Les premiers affichent des idéaux sincères : ouverture, égalité, antiracisme. Mais ils se heurtent à un système scolaire inégal, qui rend risqué d’offrir à ses enfants une scolarité perçue comme dégradée. Ils fuient sans renier leurs valeurs, mais leurs choix alimentent l’entre-soi. 

Leur choix politique ? 

@rglucks1

 


Les seconds expriment une peur identitaire : crainte de perdre des repères, sentiment d’abandon social, déclassement. L’école devient pour eux le symbole d’un monde qui change trop vite.

Avant ils ne votaient pas, maintenant ils votent RN.


Ils accusent les premiers de « croyances de luxe » : défendre la diversité tout en l’évitant.


Deux angles morts :

– Les progressistes oublient que leurs stratégies d’évitement entretiennent la ségrégation qu’ils dénoncent.

– Les inquiets oublient que leur malaise ne vient pas de la diversité en soi mais des fractures sociales et de l’échec d’une vraie politique de mixité.


Conséquences : polarisation, rancunes croisées, montée des extrêmes. Les uns crient à l’hypocrisie, les autres se réfugient dans un vote identitaire.


Sortir du piège ? Recréer une école vraiment mixte et exigeante et laïque; cesser d’opposer morale et protection ; écouter les peurs sans nourrir les fantasmes ; assumer que l’égalité et l’ouverture demandent plus que des slogans : elles exigent des politiques publiques fortes et des investissements concrets.


La question : y arriverons-nous ?

dimanche 28 septembre 2025

L'HUMANISME ARTISTIQUE BOBO

 


PURGE 2.0 ?

 



PURGE ?

 Sarkozy n'est il pas que le premier a passer à la trappe ? 


PALANTIR

 Pour ceux qui sur ce blog sont peut être passer à côté de Palantir..... une cure de rappel ! Apprenez comment ICE aux USA arrive a identifier les illégaux.



A SAVOIR

Larry Ellison, propriétaire d'Oracle, CBS, CNN et, bientôt TikTok, prône la centralisation des données et une surveillance totale..


« Les citoyens se comporteront de manière irréprochable, car nous surveillons et enregistrons constamment tout ce qui se passe. »

DEFIANCE

 



 

BOUT DE PAPIER

 Bataille sur le document Médiapart, note Moussa Koussa » - publié le 28/04/12 - dont ce dernier répond à ses détracteurs qui prétendent que ce document serait un faux. Plénel défend son document, preuves à l'appuis. 



Sauf que ses preuves, sont des validations sans plus de démonstration de l'authenticité du document. En réalité, oui, le document à été réfuté 

Le tribunal correctionnel de Paris écrit : « Le plus probable est que ce document soit un faux. » 

De plus, Plénel semble vouloir mettre le projecteur sur Mediapart, alors que la procédure a été lancée non pas sur son document mais sur le témoignage de Ziad Takieddine en 2012.



SHUTDOWN

 Les dirigeants républicains et démocrates s'accrochent à la paralysie du gouvernement avant leur rencontre avec Trump.

Rédigé par Jacob Burg via The Epoch Times (c'est nous qui soulignons),

Les dirigeants démocrates et républicains du Congrès campent sur leurs positions avant une réunion cruciale avec le président Donald Trump pour éviter une éventuelle fermeture du gouvernement cette semaine , chacun rejetant la responsabilité de toute négociation qui échouerait demain sur le parti adverse.

(De gauche à droite) Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson (R-La.), le chef de la majorité au Sénat, Chuck Schumer (DN.Y.), et le chef de la minorité à la Chambre, Hakeem Jeffries (D-NY), écoutent lors d'une réception de Hanoukka au Capitole des États-Unis à Washington, le 17 décembre 2024. Anna Moneymaker/Getty Images

Trump a accepté de rencontrer les dirigeants du Sénat et de la Chambre des représentants des deux partis le 29 septembre pour, espérons-le, négocier un accord visant à adopter une résolution permanente visant à maintenir le financement du gouvernement jusqu'à ce qu'un projet de loi de dépenses à long terme puisse être adopté.

Les démocrates affirment que les républicains doivent accepter de prolonger certaines subventions fiscales pour l'Affordable Care Act Marketplace - également connu sous le nom d'Obamacare - qui ont été adoptées en 2021 dans le cadre du plan de sauvetage américain et qui devraient expirer à la fin de l'année.

Les républicains répliquent en affirmant que la discussion sur les subventions fiscales peut avoir lieu après l'adoption d'une résolution permanente visant à maintenir le gouvernement à flot à court terme, affirmant que l'Affordable Care Act est en proie au « gaspillage, à la fraude et aux abus ».

La fermeture du gouvernement « dépend entièrement des démocrates », a déclaré le chef de la majorité au Sénat, John Thune (RS.D.), lors de l'émission « Meet the Press » de NBC le 27 septembre.

« La balle est dans leur camp », a-t-il déclaré. « À mon avis, cette décision, à ce stade, appartient donc à une poignée de démocrates. Il nous faut huit démocrates pour la faire adopter par le Sénat, ce que les républicains ont fait treize fois, lorsque les démocrates détenaient la majorité au cours des quatre dernières années et que le président [Joe] Biden était à la Maison Blanche. »

Il a déclaré que les crédits d'impôt n'expirent pas avant la fin de l'année et que les démocrates doivent « libérer l'otage » du refus d'approuver la résolution continue avant d'avoir cette conversation sur les soins de santé.

« Ce programme a désespérément besoin d'être réformé. Il est en proie au gaspillage, à la fraude et aux abus ; nous devrons donc procéder à des réformes si nous voulons agir dans ce domaine », a déclaré Thune. « Mais je pense qu'il existe potentiellement une voie à suivre. »

Le chef de la minorité au Sénat, Chuck Schumer (DN.Y.), a déclaré que sa coalition faisait pression pour une réunion et une « véritable négociation » en présence de Trump, affirmant que « nous avons besoin que le président en fasse partie ».

« Nous avons besoin du président de la Chambre des représentants, M. Johnson ; laissons les quatre dirigeants et le président s'asseoir », a-t-il déclaré à l'émission « Meet the Press » de NBC le 28 septembre, faisant référence au président de la Chambre des représentants, M. Mike Johnson (R-La.), et à la réunion avec M. Trump prévue à 14 heures le 29 septembre.

Schumer a déclaré que les démocrates se concentrent sur les soins de santé.

« Les hôpitaux ruraux ferment. Les gens vont recevoir des notifications d'augmentation de leurs primes de 4 000 dollars par an. Notre rôle est donc de représenter le peuple américain », a-t-il déclaré. « Jusqu'à présent, ils ont fait obstruction et ont dit que nous n'en discuterions pas, et que nous verrions si la situation évolue. »

Johnson a déclaré que Trump est toujours ouvert aux négociations mais souhaite « agir de bonne foi, il a donc décidé de nous impliquer tous ».

« Il veut discuter avec Chuck Schumer et Hakeem Jeffries et tenter de les convaincre de faire preuve de bon sens et de faire ce qui est juste pour le peuple américain », a déclaré Johnson lors de l'émission « État de l'Union » sur CNN le 28 septembre. « Il est important de souligner que nous cherchons uniquement à gagner du temps. »

Le chef de la minorité à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries (DN.Y.), a déclaré dans un communiqué que les négociations porteraient sur la « trouver une voie à suivre pour réellement réparer le système de santé que les Républicains ont détruit, pour le bien de tous ». Il faisait référence à l'expiration des crédits d'impôt et aux coupes dans Medicaid prévues par la loi One Big Beautiful Bill de Trump plus tôt cette année.

Johnson a qualifié cette déclaration d’« absolument absurde ».

« La question des subventions à l'Obamacare est un débat politique qui doit être tranché d'ici la fin de l'année, le 31 décembre », a déclaré Johnson. « Pas maintenant, alors que nous essayons simplement de maintenir le gouvernement ouvert pour pouvoir tenir tous ces débats. »

Jake Tapper de CNN a interrogé Johnson sur les experts en soins de santé qui ont déclaré que les primes des Américains pourraient augmenter jusqu'à 75 % - dès octobre - si les subventions d'Obamacare expirent sans prolongation, et a demandé au leader de la Chambre s'il était « inquiet que ces personnes puissent blâmer les républicains pour ces coûts de soins de santé, pour la hausse des coûts d'assurance ».

« Non, ils ne disent pas la vérité », a déclaré Johnson. « Le programme n'expire qu'à la fin décembre, nous avons donc le temps de tenir toutes ces discussions et de débattre. »

Lawrence Wilson a contribué à ce rapport.