dimanche 30 novembre 2025

BANNI

 

SCANDALE

 « On a voulu me mettre le couteau sous la gorge » : à Saint-Ouen, les dessous de la démission de la candidate écologiste Sabrina Decanton, et l’ombre des mélenchonistes.

Le fameux accord confidentiel que le groupe écologiste de Saint-Ouen voulait faire signer à sa candidate aux municipales, Sabrina Decanton.


Dans un échange de mails daté du 6 novembre 2025 que s’est procuré l’Opinion, Sabrina Decanton rejette l’accord de gouvernance qu’elle soupçonne d’être illégal. En clair, il s’agissait selon elle de placer sous tutelle la future maire de Saint-Ouen en accordant un droit de veto à un cartel d’élus constitué de six personnes.











Ironie de l’histoire : avant de trancher, Sabrina Decanton a soumis le contenu de l’accord de gouvernance à une IA, qui estime que la charte en question pourrait porter atteinte à « l’indépendance du mandat électif » et « usurper les compétences prévues par le Code général des collectivités territoriales ».

samedi 29 novembre 2025

REGLEMENT DE COMPTE

 Un anniversaire qui tourne mal à Stockton en Californie. 



 Le rappeur MBNel assistait à l'anniversaire de la fille de sa cousine à Stockton, en Californie, lorsqu'une fusillade a éclaté. L'attaque a fait au moins 19 blessés et quatre personnes sont décédées sur place.

METTRE LE FREIN

 LA GUERRE DES CHAINES, EN PARTIE PARCE QUE LES RECETTES PUBLICITAIRES SONT EN BERNE

Pour ceux qui parlent privatisation de l’audiovisuel public, une preuve de plus que le marché ne pourrait pas encaisser le choc

Voici un article du parisien ainsi résumé

L’audiovisuel français face à une vague d’austérité budgétaire

Les groupes télévisuels traversent une période de turbulences financières sans précédent en cette fin 2025, contraints de réduire drastiquement leurs dépenses face à l’effondrement des recettes publicitaires et aux coupes dans le financement public.

**Un marché publicitaire sinistré**

Les chiffres de l’Irep dressent un tableau alarmant : les revenus issus de la publicité télévisée ont plongé de plus de 7% sur les neuf premiers mois de 2024 comparé à l’année précédente, selon les Journaux Officiels de Paris. La situation automnale accentue cette tendance négative, dans un climat économique dégradé depuis la pandémie.

**TF1 revoit ses ambitions à la baisse**

La chaîne leader a dû renoncer à plusieurs projets de production. Les épisodes additionnels prévus pour des séries comme “Section de recherches” et “Death Wish” ont été abandonnés. Le budget consacré aux fictions a subi une cure d’amaigrissement spectaculaire, passant de 520 à seulement 20 millions d’euros pour 2026, réduisant l’offre de 25 à 15 soirées inédites annuelles.

**Le service public également touché**

France Télévisions n’échappe pas aux restrictions. France 3 multiplie la diffusion de rediffusions en première partie de soirée. France 5 pourrait subir une amputation budgétaire de 5% sur l’ensemble de sa programmation de flux. Des émissions emblématiques comme “C’est pas sorcier” et “Cuisine ouverte” arrivent en fin de parcours. Certains rendez-vous mensuels (“Questions pour un champion”, “Slam”) pourraient adopter une cadence trimestrielle. L’animateur Théo Curin a par ailleurs quitté l’antenne du week-end.

**Production en péril**

L’industrie de la fiction subit un coup d’arrêt majeur. France Télévisions a supprimé son marché annuel aux fictions prévu en janvier, tandis que TF1 privilégie désormais les mécanismes de défiscalisation plutôt que l’investissement direct. M6 a réduit son enveloppe de 150 à 120 millions d’euros.

Les professionnels s’inquiètent des répercussions à long terme de cette cure d’austérité sur la vitalité de la création audiovisuelle française et l’attractivité des programmes diffusés.

GUERRE DES NERFS

 Vu les scandales et la propagande hallucinante, c’est à se demander pourquoi CNews ne fait pas son propre « Complement d'enquete » contre FranceTV.

Leur étude « scientifique » sur le lien entre insécurité et immigration est bidon.
"Ce lien de causalité entre étrangers et insécurité n'existe pas, et c'est la science qui le dit"

Absolument TOUTES les données de criminalité en Europe montrent que les immigrés (notamment issus de pays pauvres extra-européens) ont en moyenne un taux d'implication dans les crimes et délits plus élevé que les non-immigrés.
Accueillir des populations au taux de criminalité plus élevé influence mécaniquement à la hausse la criminalité d'ensemble.

"Le CEPII a recensé tous les travaux sur le sujet"

Enorme blague. Le CEPII s'appuie sur 4 études, dont 1 seule a été menée en Europe continentale, et en l'occurrence sur l'Italie des années 1990 (!), sans distinction d'origine des populations immigrées.
Plutôt que de s'appuyer sur des études réalisées au Chili (!), il aurait été mieux indiqué de regarder la réalité de nos voisins européens.
Je rappelle au passage qu'à iso-facteurs socio-économiques, les immigrés en Suède sont 3 à 5 fois plus condamnés pour vioI que les non-immigrés.

"Les études concluent unanimement à l'absence d'impact de l'immigration sur la délinquance [musique inquiétante]"

Cf plus haut. Cette émission diffusée sur le service public est une farce.

"ce sont des économistes qui ont fait une compilation de toutes les études qui existent sur le sujet et qui concluent unanimement à l'absence d'impact de l'immigration sur la délinquance"

On a vraiment payé cette séquence de propagande avec nos impôts ?
C'est complètement scandaleux.

La réalité est qu'il n'y a pas de déterminisme qui ferait d'un immigré un délinquant. Mais personne ne dit le contraire. Chacun sait que tous les immigrés ne sont pas des délinquants. Chacun se doute bien que les immigrés de pays riches comme le Japon sont bien moins impliqués dans les crimes et délits que ceux issus de pays comme la Guinée.

Mais chacun sait aussi que la particularité de notre immigration en France est d'accueillir des populations pauvres, issues de pays pauvres.

Partir en croisade contre les 3 hurluberlus en France qui pensent que "tous les étrangers sont des criminels", c'est une lutte fictive et ridicule. Le summum du pathétique.

L'immigration telle qu'on la connaît aujourd'hui alimente à la hausse les crimes et les délits, c'est simplement factuel. On ne peut pas être en désaccord sur ce constat.

La négation ou la dissimulation de cette réalité sont des obscurantismes qui n'ont rien à faire sur le service public.
Le débat sur les causes a certes un intérêt intellectuel, mais il ne sera jamais clos.

Le facteur "culturel" est lui-même très difficile à cerner : Afghans, Marocains et Indonésiens partagent largement la même religion, mais ces 3 nationalités présentent des profils de criminalité très différents.


La vidéo du témoignage de Vincent Bolloré en Commission d’enquête parlementaire est volontairement tronquée pour faire croire qu’il « mentirait sous serment ».


CNews est plus proche de représenter le pluralisme selon les règles de l’Arcom que France2, Franceinfo, France Inter ou France Culture qui minimisent la couverture de la droite.


Lors des législatives de 2022, les temps de parole étaient plus proches des équilibres électoraux sur CNews que sur de nombreux autres médias 


 À rebours des idées reçues, la "droite nationale" (RN, Reconquête,...) n'avait que 28% du tps de parole sur CNews. C'est aussi leur poids dans l'électorat.

En revanche, France Inter (service public) dédiait 50% de tps de parole à la gauche au sens large (30% de l'électorat)


Autre data, plus récent sur 2025.



CONQUETE

 L'Islam n'est pas une religion de conquête....


vendredi 28 novembre 2025

CONTRE

 Le Parlement européen a adopté une résolution pour réaffirmer son soutien à l'Ukraine, à son peuple, à son intégrité territoriale, à sa liberté. Bon, on ne sait pas comment on va concrétiser un soutient à terme mais bon, au moins, on s'engage..... avec du vide, mais on s'engage quand même !

Une résolution qui réaffirme la nécessité d'une paix juste et durable et de garanties de sécurité robustes pour l'Ukraine. Sauf que deux partis n'ont pas voté pour ! C'est ballot !






CA NE VA PLUS DU TOUS

 Rien ne va plus au sein de la «Maison ronde», secouée par des affaires mettant en cause la partialité de certains de ses journalistes.

France Inter, sa station phare, a perdu près de 500 000 auditeurs. Elle est critiquée à droite comme à gauche, en externe comme en interne.

https://www.lefigaro.fr/medias/chute-des-audiences-derives-ideologiques-commission-d-enquete-c-est-la-panique-a-radio-france-20251128?utm_content=photo&utm_term=Le_Figaro&utm_campaign=Nonli&utm_medium=Social&utm_source=Twitter

LE LITTERAIRE VS YOUTUBEUSE

 Assez de ces livres inutiles qui pullulent dans les librairies. Que Léna Situations qui se targue d'être le porte-drapeau de la génération "réseau sociale" commence par lire de la Littérature au lieu d'écrire toutes ses fadaises d'un entre soit bobo parisienne.


CRISE

 L'AFP malade de son management pathogène



Le 10 novembre dernier, l’accès aux cinquième, sixième et septième  étages de l’imposant bâtiment de l’Agence France Presse, place de la  Bourse à Paris, a été interdit pour le personnel. La direction de  l’agence a pris cette décision en urgence après avoir appris que  plusieurs salariés en grande souffrance avaient émis des idées  suicidaires, l’un d’entre eux ayant confié qu’il était attiré par le  vide. Plusieurs fenêtres du bâtiment ont également été condamnées. Sept jours plus tard, cette mesure était abandonnée par la direction,  sur conseil de la médecine du travail « l’accès aux terrasses  contribuant au bien-être des salariés ». Ce fait, en apparence anodin,  est le signe d’une crise profonde que la vénérable agence de presse  n’avait certainement pas connue depuis sa création en 1957. Activité  commerciale en chute libre, perte d’influence journalistique, tensions  internes après des plans de suppressions d’emplois, management décrié.  Enquête sur une institution malade.....

Article gratuit

https://www.blast-info.fr/articles/2025/l-afp-malade-de-son-management-pathogene-Xh8Z1QQSRwqdXgEP8ioClg

BYE BYE

 C'est terminé, le Royaume-Uni ne participera pas au programme de défense européen: Londres vient de l'annoncer (le pays refuse de payer la somme demandée par l'UE)

https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/c-est-termine-le-royaume-uni-ne-participera-pas-au-programme-de-defense-europeen-londres-vient-de-l-annoncer-le-pays-refuse-de-payer-la-somme-demandee-par-l-ue_AD-202511280642.html?at_brand=BFMTV&at_compte=BFMTV&at_plateforme=twitter&at_campaign=Fan_pages&at_medium=Community_Management

CHATCONTROL

 Voici ce que contient — ou a contenu — le projet Chat Control au sein de l’Union européenne (souvent présenté via le projet de règlement Regulation to Prevent and Combat Child Sexual Abuse — CSAR). Le projet a beaucoup évolué, mais voici les éléments-clefs (et les points de controverse) — ainsi qu’où en est le débat en 2025.


Objectif déclaré

  • Le but officiel du projet est de lutter contre les abus sexuels sur mineurs en ligne et la diffusion de matériel pédopornographique (CSAM). Wikipédia+2ChatControl+2

  • Il vise aussi à détecter des comportements de “grooming” — c’est-à-dire des tentatives d’approche ou d’exploitation d’enfants en ligne. TechCrunch+1


Principales mesures que proposait « Chat Control »

Le projet prévoyait des mesures assez vastes, qui ont fait débat :

  • Scan des communications privées : plateformes de messagerie (textes, photos, vidéos), courriels, services de chat, appels, visioconférences, stockage cloud, etc. Le contenu — pas seulement les métadonnées — aurait pu être analysé. francesoir.fr+3FDN+3Patrick Breyer+3

  • Client-side scanning (scanner côté utilisateur / avant chiffrement) : c’est-à-dire que l’analyse s’effectuerait sur l’appareil de l’utilisateur (smartphone, PC) avant que le message ne soit chiffré, dans le cas des messageries chiffrées de bout en bout (comme WhatsApp, Signal, etc.). ki-ecke.com+2francesoir.fr+2

  • Détection de contenu connu et inconnu : d’un côté analyses basées sur des “hashes” d’images/pédopornographiques connues, de l’autre l’emploi de l’IA/machine-learning pour repérer des contenus “nouveaux” suspects — ce qui pose un risque de faux positifs élevé. TechCrunch+1

  • Signalement obligatoire à l’autorité : si un contenu suspect est détecté, les plateformes devraient le signaler aux autorités compétentes. Patrick Breyer+1

  • Large champ d’application : toutes les plateformes de communication — y compris celles fondées sur les revenus publicitaires —, sans minimum d’utilisateurs, et même les services hors UE (ils seraient concernés s’ils proposent des services en Europe). Patrick Breyer+2FDN+2

Certaines versions du projet incluaient aussi des mesures de vérification d’âge pour l’accès à certaines applications, et des restrictions pour les mineurs (quelques propositions visaient à empêcher les adolescent·es de moins de 16 ans d’installer certaines applis, par exemple). Patrick Breyer+2ChatControl+2


Principaux risques et critiques soulevés

Le projet a suscité une forte opposition de la part de nombreuses organisations de défense des droits numériques, d’experts en sécurité et d’États craignant pour la vie privée. Parmi les critiques :

  • Atteinte massive à la vie privée et à la confidentialité des communications — la surveillance ne viserait pas seulement les personnes suspectées mais potentiellement tout le monde. freiheitsrechte.org+2Le JDD+2

  • Risque de fausses alertes — l’IA ou les outils de détection automatique pourraient mal interpréter des contenus innocents, entraînant des signalements injustifiés. ki-ecke.com+1

  • Affaiblissement du chiffrement de bout en bout (end-to-end encryption) — l’obligation de scanner les messages avant chiffrement implique d’introduire des “portes dérobées” (backdoors), ce qui fragilise la sécurité globale, y compris face aux hackers ou à des États malveillants. ki-ecke.com+201net.com+2

  • Suspicion généralisée / surveillance de masse — la mesure s’apparente à un contrôle global plutôt qu’à une surveillance ciblée sur des personnes suspectées. francesoir.fr+2freiheitsrechte.org+2

  • Effets néfastes possibles sur des droits fondamentaux (vie privée, liberté d’expression, confidentialité), double standard possible pour les services hors UE, etc. Patrick Breyer+2Le site de Korben+2


État du projet en 2025 — Évolutions récentes

  • Le projet avait été initialement proposé en 2022 par la Commission. Wikipédia+1

  • Face à la controverse, le texte a été modifié. En novembre 2025, les États membres se sont entendus sur une version “allégée” — le scan obligatoire des messageries chiffrées a été supprimé, remplacé par des mesures volontaires de “mitigation des risques”. Génération NT+201net.com+2

  • Mais les critiques jugent que même cette version reste “profondément problématique” pour la vie privée. Patrick Breyer+2Génération NT+2

  • Le texte doit encore passer par les négociations (trilogue) entre le Conseil de l’UE, la Commission et le Parlement. Patrick Breyer+2euronews+2

 Pourquoi le débat reste vif — enjeux

  • Il y a un dilemme fort entre la volonté légitime de combattre la pédopornographie et la protection des libertés fondamentales (vie privée, confidentialité, liberté d’expression, sécurité des communications).

  • Si on affaiblit le chiffrement, cela pourrait servir non seulement à détecter des abus — mais aussi à surveiller massivement, espionner, faire pression sur des dissidents, journalistes, militants, etc.

  • Beaucoup estiment qu’il existe d’autres manières de protéger les enfants — par des mesures ciblées, des enquêtes judiciaires classiques, des signalements intelligents, etc. — que par une surveillance généralisée.

CA SE RAPPROCHE

 Guerre en Ukraine : perquisitions en cours visant le bras droit de Zelensky.

https://www.tf1info.fr/international/ukraine-des-perquisitions-anticorruption-menees-au-domicile-du-bras-droit-de-volodymyr-zelensky-2409520.html

jeudi 27 novembre 2025

LA GUERRE DE LA GAUCHE MEDIATIQUE

 

Pluralisme sur CNews : l’Arcom contredit RSF

Interrogée par « Le Point » après un rapport de Reporters sans frontières repris dans « Complément d’enquête », l’Arcom affirme n’avoir constaté, en mars 2025, aucun problème de respect du pluralisme sur CNews.

À l'Arcom, le « gendarme » de l'audiovisuel, on est tombé des nues en découvrant le rapport de Reporters sans frontières (RSF), mis en scène ce jeudi soir dans le Complément d'enquête sur CNews diffusé sur France 2. Dans ce texte, l'ONG accuse la première chaîne d'informations du pays de contourner les règles du pluralisme en accordant massivement du temps de parole à la gauche la nuit, pour compenser un déséquilibre en faveur de la droite et de l'extrême droite en journée. Dans le Complément d'enquête, on voit notamment un discours de François Hollande avec un son presque inaudible diffusé vers 5 heures du matin.

Rappelons que Pascal Praud a toujours affirmé qu'il était prés a mettre a disposition de la justice tout les tweets, messages privés, mails ou il invitait des personnalités de gauche a venir sur son plateau, qui en grande majorité, refusaient ou ne répondaient même pas à ses solicitations.


Pendant ce temps là ou Cnews est une cible, catastrophe industrielle pour NOVO19, la chaîne TV qui a remplacé C8 sur décision de l'ARCOM : NOVO19 fait désormais des soirs à 0% D'AUDIENCE en réunissant seulement 5000 téléspectateurs ; "un score extrêmement faible pour le canal 19."


Rappelons que Delphine Ernotte et Sibyle Veil, ainsi que les journalistes  Patrick Cohen et Thomas Legrand, seront auditionnés en décembre lors de la commission sur l'audiovisuel public.




ENCORE PLUS

 

Cnews lance sa chaîne steaming et évidemment, ça va faire encore plus chier les biens pensants.

Portés par la fidélité de nos téléspectateurs, CNEWS, 1ʳᵉ chaîne d’information de France et 5ᵉ chaîne nationale, lance dès aujourd’hui CNEWS PRIME, sa petite sœur digitale.

Parce qu’une seule chaîne ne suffit pas à couvrir toute la richesse de l’actualité nationale et internationale, CNEWS PRIME vient compléter l’antenne linéaire pour permettre à chacun de suivre en direct l’intégralité des prises de parole, accéder aux coulisses de la chaîne et profiter de contenus portés par nos journalistes et incarnations. CNEWS PRIME est disponible gratuitement via les box FREE (159), SFR (98), ORANGE (226), BOUYGUES (238), CANAL+ (178), ainsi que sur l’appli CANAL+, le site et l’appli CNEWS sur smartphones et tablettes.

DE GAUCHE

 

AVEU

 

LES ZOMBIES

 Les démocrates devant un problème majeur ! Leurs immobilismes envers les cartels, ou sinon si peu ! Résultat, des américains sont convaincus que c'est la faute des démocrates, comme aussi de certains républicains si aujourd'hui il y a des zombies dans des quartiers de grandes métropoles, comme dans des quartier pauvre de villes moyennes.


NARRATIF DISSONNANT

 


PLAN BAISE

 

Le plan de paix de Trump en 28 points menace les projets de l’UE sur les 210 milliards d’euros d’actifs russes gelés. Le point 14 du plan prévoit de redonner des avoirs à la Russie, provoquant la panique à Bruxelles.

Les capitales européennes négocient pour envoyer plus d’argent à Kiev, mais la Belgique résiste à l’utilisation des fonds russes. L’UE a trois semaines pour convaincre la Belgique ou trouver d’autres financements pour l’Ukraine avant le sommet de mi-décembre.

Le plan de “paix” en 28 points proposé par Donald Trump fait trembler l’élite européenne, qui s’agrippe aux fonds russes gelés. Ces mêmes bureaucrates, qui veulent contrôler chaque aspect de nos vies, redoutent désormais de perdre leur dernier moyen de pression contre Moscou.

Le point 14 du programme américain prévoit de restituer une partie des avoirs gelés à la Russie — un coup de tonnerre pour Bruxelles. Impensable pour les technocrates européens : ils préfèrent garder ces milliards sous clé plutôt que d’en céder la moindre partie à Trump ou, pire encore dans leur esprit, au Kremlin.

L’ironie est cruelle : l’UE panique à l’idée de voir ce butin lui échapper. Et, dans le même temps, ces capitales européennes négocient pour envoyer encore plus de notre argent à Kiev, sur plusieurs années.

Ces élites s’inquiètent que l’Ukraine manque de financement dans les deux prochaines années. Pourtant, qui s’inquiète lorsque nos retraités doivent choisir entre se chauffer ou manger ?

- Les caisses vides de l’UE convoitent les 210 milliards d’euros de fonds russes gelés -

Macron a fermé la porte aux États-Unis concernant les avoirs russes. Il a déclaré que c’est “aux Européens de décider” de leur sort. Le montant total des fonds immobilisés s’élève à 210 milliards d’euros : des avoirs appartenant à la Banque centrale russe et gelés depuis l’intervention en Ukraine en février 2022.

Pour de nombreux pays européens aux caisses vides, ponctionner ces montants — une idée que la Commission mijote depuis des mois — représente une opportunité en or pour dépenser sans se serrer la ceinture. L’Allemagne, les États baltes, les pays nordiques, la Pologne et les Pays-Bas poussent pour accélérer le mouvement. Ils ont flairé la bonne affaire.

Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, ne s’en cache pas. Il espère un accord rapide, qui permettrait à cette manne de filer vers l’Ukraine.

Mais l’opération est sans précédent et soulève de nombreuses questions juridiques. C’est précisément ce nœud légal qui fait grincer des dents à Bruxelles. La Belgique, qui abrite la majorité de ces actifs, ne cache plus sa réticence.

- La Belgique, dernier rempart contre la saisie controversée des actifs russes -

Les capitales européennes se retrouvent dos au mur avec seulement trois semaines devant elles. Elles doivent convaincre la Belgique d’adhérer à leur plan d’utilisation des actifs russes, ou trouver d’autres moyens de continuer à alimenter Kiev.

Un diplomate de l’UE l’a confirmé sans détour : le plan américain a balayé les hésitations et contraint l’Europe à trouver un accord dans l’urgence absolue.

Le gouvernement belge reste visiblement réticent. Une prudence qui s’explique aisément : l’opération est juridiquement risquée.

Malgré les sourires de Donald Tusk, qui reconnaît que la décision n’est “pas encore définitive, car certains pays européens ont encore des réserves”.

« La Belgique persiste et signe. Sollicitée par l’AFP, elle a rappelé que ses « préoccupations » et sa « position » restaient gravées dans le marbre. »

Les capitales européennes ont trois semaines, et pas une de plus : trois semaines pour tenter de faire plier la Belgique sur l’utilisation des fonds russes ou, à défaut, trouver in extremis de l’argent frais pour l’Ukraine. L’échéance politique : le sommet de mi-décembre.

https://geopolitique-profonde.com/actualite/geopolitique/fonds-russes-geles-le-plan-trump-plonge-bruxelles-dans-la-panique/?fbclid=IwY2xjawOVgPxleHRuA2FlbQIxMABicmlkETFQS1VSNDQ5Zk5LR3l2YkVMc3J0YwZhcHBfaWQQMjIyMDM5MTc4ODIwMDg5MgABHvnqlsez_e6jUPraaFIZEDLSE3jdpUetjKKOt1dKvivqLK28Oqkq3IqsoVIm_aem_2jE-5WOd-ItNqWRA5l1fIw

LA BRANLETTE

 



https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1994044235717419300

TROP HATIF

 Pas de bol ! 

Depuis plusieurs heures, sur ce cliché du tireur de Washington, pas mal d'internautes veulent démontrer qu'il ne s'agit pas d'un immigré, ou d'un black, qu'il s'agit d'un blanc, voir d'un MAGA.

https://www.reuters.com/world/us/two-national-guard-members-shot-washington-dhs-chief-says-2025-11-26/

L'attaquant est reconnu comme étant un ressortissant afghan. Les motifs de son acte restent encore indéfinis.


LYNCHAGE

 

TIRS A WASHINGTON

 


mercredi 26 novembre 2025

MALDONNE CHEZ EELV

 


MAIS, comme on devine bien pourquoi elle a été pousser dehors, elle refait un communiquer pour dire que ce n'est pas parce que la population musulmane est importante et qu'une candidature d'une lesbienne, ç'est pas haram....


VOTER

Contrôle des conversations sur Internet : la nouvelle version de ChatControl a été adoptée par les 27

Le Conseil s’est finalement mis d’accord sur une version du ChatControl, ce règlement européen contre les abus sexuels sur les mineurs en ligne. L’obligation de détection de contenus pédopornographiques a bien été supprimée, mais une autre disposition inquiète autant les défenseurs des droits à la vie privée et à la confidentialité de nos conversations.

Après trois ans de va-et-vient, les 27 pays de l’Union européenne (UE) ont bien adopté ce mercredi 26 novembre une position commune sur l’épineux projet de règlement contre les abus sexuels sur les mineurs en ligne (CSAM), rapporte le Conseil, la représentation des Etats européens, dans un communiqué.

Le texte, appelé « ChatControl » ou contrôle des conversations par ses opposants, avait déclenché un tollé au sein de la société civile et des organisations de défense des droits numériques. Ces derniers étaient vent debout contre une disposition du texte qui aurait contraint les messageries chiffrées comme Telegram, Signal ou WhatApp, à détecter les contenus pédopornographiques.

Que comprend le compromis voté ce matin ?

Pour rappel, cette obligation controversée de détection obligatoire avait finalement été supprimée, faute de consensus, en raison de ses implications pour la vie privée. Pour la ministre allemande de la Justice Stefanie Hubig, la mesure revenait à un « scan à grande échelle des messages privés », un scan qui « doit être tabou dans un État de droit ».

Que comprend alors le compromis voté ce matin ? D’un côté, il prolonge le régime actuel selon lequel les plateformes comme WhatsApp, Signal ou Olvid peuvent, aujourd’hui, détecter de tels contenus, mais sur la base du volontariat. Mais de l’autre, il renforce les exigences imposées aux plateformes, en matière « d’adoption de mesures d’atténuation ». Et cette dernière disposition, proposée par le Danemark, à la tête de la présidence tournante du Conseil, fait encore polémique. Les plateformes qui proposent des services à risque pour les mineurs auraient l’obligation d’adopter des « mesures de réduction des risques ».

« Ces mesures pourraient inclure la mise à disposition d’outils permettant aux utilisateurs de signaler les abus sexuels commis en ligne sur des enfants, de contrôler les contenus les concernant qui sont partagés avec d’autres personnes et de mettre en place des paramètres de confidentialité par défaut pour les enfants », précise le Conseil.

Pour l’ex-Eurodéputé du parti pirate allemand Patrick Breyer, opposant notoire à ChatControl, cela reviendrait, ni plus ni moins, à une obligation de détection. « Officiellement, les obligations explicites de scan ont été supprimées », écrit-il dans son article de blog, daté du 11 novembre dernier.

Un scan qui pourrait être mis en place sur la base du volontariat

Mais « l’article 4 du nouveau projet oblige les fournisseurs de services de messagerie électronique, de chat et de messagerie instantanée comme WhatsApp à prendre “toutes les mesures appropriées d’atténuation des risques”. Cela signifie qu’ils peuvent toujours être contraints de scanner tous les messages privés, y compris sur les services chiffrés de bout en bout » regrette-t-il. Concrètement, il n’y aurait plus d’obligation de détection, mais les plateformes technologiques pourraient la mettre en œuvre de manière volontaire.

Le consensus trouvé au sein du Conseil ne signifie pas que le texte est adopté, mais seulement que le processus législatif de l’UE est enclenché. Désormais, les discussions avec le Parlement européen peuvent commencer, et elles risquent d’être longues. En novembre 2023, les Eurodéputés s’étaient mis d’accord sur une version du projet de règlement, sans (aucune) obligation de détection. Or, pour qu’un texte devienne loi, un consensus doit être adopté entre les trois co-législateurs de l’Union européenne : le Conseil, le Parlement européen, et la Commission européenne.

Le Parlement européen a voté 483 POUR – 92 CONTRE une résolution imposant un âge minimum de 16 ans pour accéder aux réseaux sociaux…

Avec vérification d’identité obligatoire pour appliquer la règle.

Objectif affiché : protéger les mineurs.

Effet concret : fin de l’anonymat en Europe.