#Alexhitchens banni de #TikTok pour avoir dit de ne pas aimer ce gouvernement #Macron #Dictature 🎙️‼️ pic.twitter.com/t5VDdrIK1D
— AlexNoMatrixé (@AlexSofamous) November 30, 2025
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« On a voulu me mettre le couteau sous la gorge » : à Saint-Ouen, les dessous de la démission de la candidate écologiste Sabrina Decanton, et l’ombre des mélenchonistes.
Un anniversaire qui tourne mal à Stockton en Californie.
#BREAKING : Rapper MBNel was reportedly attending his cousin’s daughter’s birthday party in Stockton, California, when a mass shooting occurred. The attack left at least 19 people wounded, and four victims were pronounced dead at the scene.#Stockton #California #Shooting #USA… pic.twitter.com/UOHVPgXEAU
— upuknews (@upuknews1) November 30, 2025
Le rappeur MBNel assistait à l'anniversaire de la fille de sa cousine à Stockton, en Californie, lorsqu'une fusillade a éclaté. L'attaque a fait au moins 19 blessés et quatre personnes sont décédées sur place.
LA GUERRE DES CHAINES, EN PARTIE PARCE QUE LES RECETTES PUBLICITAIRES SONT EN BERNE
Pour ceux qui parlent privatisation de l’audiovisuel public, une preuve de plus que le marché ne pourrait pas encaisser le choc
Voici un article du parisien ainsi résumé
L’audiovisuel français face à une vague d’austérité budgétaire
Les groupes télévisuels traversent une période de turbulences financières sans précédent en cette fin 2025, contraints de réduire drastiquement leurs dépenses face à l’effondrement des recettes publicitaires et aux coupes dans le financement public.
**Un marché publicitaire sinistré**
Les chiffres de l’Irep dressent un tableau alarmant : les revenus issus de la publicité télévisée ont plongé de plus de 7% sur les neuf premiers mois de 2024 comparé à l’année précédente, selon les Journaux Officiels de Paris. La situation automnale accentue cette tendance négative, dans un climat économique dégradé depuis la pandémie.
**TF1 revoit ses ambitions à la baisse**
La chaîne leader a dû renoncer à plusieurs projets de production. Les épisodes additionnels prévus pour des séries comme “Section de recherches” et “Death Wish” ont été abandonnés. Le budget consacré aux fictions a subi une cure d’amaigrissement spectaculaire, passant de 520 à seulement 20 millions d’euros pour 2026, réduisant l’offre de 25 à 15 soirées inédites annuelles.
**Le service public également touché**
France Télévisions n’échappe pas aux restrictions. France 3 multiplie la diffusion de rediffusions en première partie de soirée. France 5 pourrait subir une amputation budgétaire de 5% sur l’ensemble de sa programmation de flux. Des émissions emblématiques comme “C’est pas sorcier” et “Cuisine ouverte” arrivent en fin de parcours. Certains rendez-vous mensuels (“Questions pour un champion”, “Slam”) pourraient adopter une cadence trimestrielle. L’animateur Théo Curin a par ailleurs quitté l’antenne du week-end.
**Production en péril**
L’industrie de la fiction subit un coup d’arrêt majeur. France Télévisions a supprimé son marché annuel aux fictions prévu en janvier, tandis que TF1 privilégie désormais les mécanismes de défiscalisation plutôt que l’investissement direct. M6 a réduit son enveloppe de 150 à 120 millions d’euros.
Les professionnels s’inquiètent des répercussions à long terme de cette cure d’austérité sur la vitalité de la création audiovisuelle française et l’attractivité des programmes diffusés.
Vu les scandales et la propagande hallucinante, c’est à se demander pourquoi CNews ne fait pas son propre « Complement d'enquete » contre FranceTV.
Leur étude « scientifique » sur le lien entre insécurité et immigration est bidon.La vidéo du témoignage de Vincent Bolloré en Commission d’enquête parlementaire est volontairement tronquée pour faire croire qu’il « mentirait sous serment ».
CNews est plus proche de représenter le pluralisme selon les règles de l’Arcom que France2, Franceinfo, France Inter ou France Culture qui minimisent la couverture de la droite.
Lors des législatives de 2022, les temps de parole étaient plus proches des équilibres électoraux sur CNews que sur de nombreux autres médias
À rebours des idées reçues, la "droite nationale" (RN, Reconquête,...) n'avait que 28% du tps de parole sur CNews. C'est aussi leur poids dans l'électorat.
En revanche, France Inter (service public) dédiait 50% de tps de parole à la gauche au sens large (30% de l'électorat)
Autre data, plus récent sur 2025.
Le Parlement européen a adopté une résolution pour réaffirmer son soutien à l'Ukraine, à son peuple, à son intégrité territoriale, à sa liberté. Bon, on ne sait pas comment on va concrétiser un soutient à terme mais bon, au moins, on s'engage..... avec du vide, mais on s'engage quand même !
Une résolution qui réaffirme la nécessité d'une paix juste et durable et de garanties de sécurité robustes pour l'Ukraine. Sauf que deux partis n'ont pas voté pour ! C'est ballot !
Rien ne va plus au sein de la «Maison ronde», secouée par des affaires mettant en cause la partialité de certains de ses journalistes.
France Inter, sa station phare, a perdu près de 500 000 auditeurs. Elle est critiquée à droite comme à gauche, en externe comme en interne.
https://www.lefigaro.fr/medias/chute-des-audiences-derives-ideologiques-commission-d-enquete-c-est-la-panique-a-radio-france-20251128?utm_content=photo&utm_term=Le_Figaro&utm_campaign=Nonli&utm_medium=Social&utm_source=TwitterAssez de ces livres inutiles qui pullulent dans les librairies. Que Léna Situations qui se targue d'être le porte-drapeau de la génération "réseau sociale" commence par lire de la Littérature au lieu d'écrire toutes ses fadaises d'un entre soit bobo parisienne.
L'AFP malade de son management pathogène
Le 10 novembre dernier, l’accès aux cinquième, sixième et septième étages de l’imposant bâtiment de l’Agence France Presse, place de la Bourse à Paris, a été interdit pour le personnel. La direction de l’agence a pris cette décision en urgence après avoir appris que plusieurs salariés en grande souffrance avaient émis des idées suicidaires, l’un d’entre eux ayant confié qu’il était attiré par le vide. Plusieurs fenêtres du bâtiment ont également été condamnées. Sept jours plus tard, cette mesure était abandonnée par la direction, sur conseil de la médecine du travail « l’accès aux terrasses contribuant au bien-être des salariés ». Ce fait, en apparence anodin, est le signe d’une crise profonde que la vénérable agence de presse n’avait certainement pas connue depuis sa création en 1957. Activité commerciale en chute libre, perte d’influence journalistique, tensions internes après des plans de suppressions d’emplois, management décrié. Enquête sur une institution malade.....
Article gratuit
C'est terminé, le Royaume-Uni ne participera pas au programme de défense européen: Londres vient de l'annoncer (le pays refuse de payer la somme demandée par l'UE)
https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/defense/c-est-termine-le-royaume-uni-ne-participera-pas-au-programme-de-defense-europeen-londres-vient-de-l-annoncer-le-pays-refuse-de-payer-la-somme-demandee-par-l-ue_AD-202511280642.html?at_brand=BFMTV&at_compte=BFMTV&at_plateforme=twitter&at_campaign=Fan_pages&at_medium=Community_ManagementVoici ce que contient — ou a contenu — le projet Chat Control au sein de l’Union européenne (souvent présenté via le projet de règlement Regulation to Prevent and Combat Child Sexual Abuse — CSAR). Le projet a beaucoup évolué, mais voici les éléments-clefs (et les points de controverse) — ainsi qu’où en est le débat en 2025.
Le but officiel du projet est de lutter contre les abus sexuels sur mineurs en ligne et la diffusion de matériel pédopornographique (CSAM). Wikipédia+2ChatControl+2
Il vise aussi à détecter des comportements de “grooming” — c’est-à-dire des tentatives d’approche ou d’exploitation d’enfants en ligne. TechCrunch+1
Le projet prévoyait des mesures assez vastes, qui ont fait débat :
Scan des communications privées : plateformes de messagerie (textes, photos, vidéos), courriels, services de chat, appels, visioconférences, stockage cloud, etc. Le contenu — pas seulement les métadonnées — aurait pu être analysé. francesoir.fr+3FDN+3Patrick Breyer+3
Client-side scanning (scanner côté utilisateur / avant chiffrement) : c’est-à-dire que l’analyse s’effectuerait sur l’appareil de l’utilisateur (smartphone, PC) avant que le message ne soit chiffré, dans le cas des messageries chiffrées de bout en bout (comme WhatsApp, Signal, etc.). ki-ecke.com+2francesoir.fr+2
Détection de contenu connu et inconnu : d’un côté analyses basées sur des “hashes” d’images/pédopornographiques connues, de l’autre l’emploi de l’IA/machine-learning pour repérer des contenus “nouveaux” suspects — ce qui pose un risque de faux positifs élevé. TechCrunch+1
Signalement obligatoire à l’autorité : si un contenu suspect est détecté, les plateformes devraient le signaler aux autorités compétentes. Patrick Breyer+1
Large champ d’application : toutes les plateformes de communication — y compris celles fondées sur les revenus publicitaires —, sans minimum d’utilisateurs, et même les services hors UE (ils seraient concernés s’ils proposent des services en Europe). Patrick Breyer+2FDN+2
Certaines versions du projet incluaient aussi des mesures de vérification d’âge pour l’accès à certaines applications, et des restrictions pour les mineurs (quelques propositions visaient à empêcher les adolescent·es de moins de 16 ans d’installer certaines applis, par exemple). Patrick Breyer+2ChatControl+2
Le projet a suscité une forte opposition de la part de nombreuses organisations de défense des droits numériques, d’experts en sécurité et d’États craignant pour la vie privée. Parmi les critiques :
Atteinte massive à la vie privée et à la confidentialité des communications — la surveillance ne viserait pas seulement les personnes suspectées mais potentiellement tout le monde. freiheitsrechte.org+2Le JDD+2
Risque de fausses alertes — l’IA ou les outils de détection automatique pourraient mal interpréter des contenus innocents, entraînant des signalements injustifiés. ki-ecke.com+1
Affaiblissement du chiffrement de bout en bout (end-to-end encryption) — l’obligation de scanner les messages avant chiffrement implique d’introduire des “portes dérobées” (backdoors), ce qui fragilise la sécurité globale, y compris face aux hackers ou à des États malveillants. ki-ecke.com+201net.com+2
Suspicion généralisée / surveillance de masse — la mesure s’apparente à un contrôle global plutôt qu’à une surveillance ciblée sur des personnes suspectées. francesoir.fr+2freiheitsrechte.org+2
Effets néfastes possibles sur des droits fondamentaux (vie privée, liberté d’expression, confidentialité), double standard possible pour les services hors UE, etc. Patrick Breyer+2Le site de Korben+2
Le projet avait été initialement proposé en 2022 par la Commission. Wikipédia+1
Face à la controverse, le texte a été modifié. En novembre 2025, les États membres se sont entendus sur une version “allégée” — le scan obligatoire des messageries chiffrées a été supprimé, remplacé par des mesures volontaires de “mitigation des risques”. Génération NT+201net.com+2
Mais les critiques jugent que même cette version reste “profondément problématique” pour la vie privée. Patrick Breyer+2Génération NT+2
Le texte doit encore passer par les négociations (trilogue) entre le Conseil de l’UE, la Commission et le Parlement. Patrick Breyer+2euronews+2
Il y a un dilemme fort entre la volonté légitime de combattre la pédopornographie et la protection des libertés fondamentales (vie privée, confidentialité, liberté d’expression, sécurité des communications).
Si on affaiblit le chiffrement, cela pourrait servir non seulement à détecter des abus — mais aussi à surveiller massivement, espionner, faire pression sur des dissidents, journalistes, militants, etc.
Beaucoup estiment qu’il existe d’autres manières de protéger les enfants — par des mesures ciblées, des enquêtes judiciaires classiques, des signalements intelligents, etc. — que par une surveillance généralisée.
Pluralisme sur CNews : l’Arcom contredit RSF
Interrogée par « Le Point » après un rapport de Reporters sans frontières repris dans « Complément d’enquête », l’Arcom affirme n’avoir constaté, en mars 2025, aucun problème de respect du pluralisme sur CNews.
À l'Arcom, le « gendarme » de l'audiovisuel, on est tombé des nues en découvrant le rapport de Reporters sans frontières (RSF), mis en scène ce jeudi soir dans le Complément d'enquête sur CNews diffusé sur France 2. Dans ce texte, l'ONG accuse la première chaîne d'informations du pays de contourner les règles du pluralisme en accordant massivement du temps de parole à la gauche la nuit, pour compenser un déséquilibre en faveur de la droite et de l'extrême droite en journée. Dans le Complément d'enquête, on voit notamment un discours de François Hollande avec un son presque inaudible diffusé vers 5 heures du matin.
Rappelons que Pascal Praud a toujours affirmé qu'il était prés a mettre a disposition de la justice tout les tweets, messages privés, mails ou il invitait des personnalités de gauche a venir sur son plateau, qui en grande majorité, refusaient ou ne répondaient même pas à ses solicitations.
Pendant ce temps là ou Cnews est une cible, catastrophe industrielle pour NOVO19, la chaîne TV qui a remplacé C8 sur décision de l'ARCOM : NOVO19 fait désormais des soirs à 0% D'AUDIENCE en réunissant seulement 5000 téléspectateurs ; "un score extrêmement faible pour le canal 19."
Cnews lance sa chaîne steaming et évidemment, ça va faire encore plus chier les biens pensants.
Portés par la fidélité de nos téléspectateurs, CNEWS, 1ʳᵉ chaîne d’information de France et 5ᵉ chaîne nationale, lance dès aujourd’hui CNEWS PRIME, sa petite sœur digitale.
Parce qu’une seule chaîne ne suffit pas à couvrir toute la richesse de l’actualité nationale et internationale, CNEWS PRIME vient compléter l’antenne linéaire pour permettre à chacun de suivre en direct l’intégralité des prises de parole, accéder aux coulisses de la chaîne et profiter de contenus portés par nos journalistes et incarnations.
CNEWS PRIME est disponible gratuitement via les box FREE (159), SFR (98), ORANGE (226), BOUYGUES (238), CANAL+ (178), ainsi que sur l’appli CANAL+, le site et l’appli CNEWS sur smartphones et tablettes.
Bonsoir @Cdenquete .
— David Dobsky (@dobsky33) November 26, 2025
Donc c'est ce Monsieur (Thibaut Bruttin, le patron de Reporters sans frontières) qui est chargé de "juger" @CNEWS ? ...
Lui qui en 2024 entre les deux tours des législatives avait lancé une pétition contre le @RNational_off !#RSF pic.twitter.com/11n5HNITuY
🚨Charles Alloncle révèle que Philippe de Villiers est considéré comme une "personnalité politique" par l'ARCOM mais PAS Daniel Cohn-Bendit, Cécile Duflot ou Éric Dupond-Moretti.
— Observatoire du journalisme (Ojim) (@ojim_france) November 26, 2025
L'ARCOM calcule donc le temps de parole de Philippe de Villiers, contrairement aux autres. pic.twitter.com/D2e7yTIqeh
Les démocrates devant un problème majeur ! Leurs immobilismes envers les cartels, ou sinon si peu ! Résultat, des américains sont convaincus que c'est la faute des démocrates, comme aussi de certains républicains si aujourd'hui il y a des zombies dans des quartiers de grandes métropoles, comme dans des quartier pauvre de villes moyennes.
UNE DEMOCRATIE DROGUEE ?? : Je poste cette vidéo terrible car c’est ce que j’observe dans les rues et campagne aux États-Unis de plus en plus.
— LAURENCE HAIM (@lauhaim) November 27, 2025
La “guerre de Trump contre les narcotrafiquants” est devenue un thème central, touchant des millions de familles. Le sujet concerne… https://t.co/qZXSKluCVZ
Le plan de paix de Trump en 28 points menace les projets de l’UE sur les 210 milliards d’euros d’actifs russes gelés. Le point 14 du plan prévoit de redonner des avoirs à la Russie, provoquant la panique à Bruxelles.
Les capitales européennes négocient pour envoyer plus d’argent à Kiev, mais la Belgique résiste à l’utilisation des fonds russes. L’UE a trois semaines pour convaincre la Belgique ou trouver d’autres financements pour l’Ukraine avant le sommet de mi-décembre.
Le plan de “paix” en 28 points proposé par Donald Trump fait trembler l’élite européenne, qui s’agrippe aux fonds russes gelés. Ces mêmes bureaucrates, qui veulent contrôler chaque aspect de nos vies, redoutent désormais de perdre leur dernier moyen de pression contre Moscou.
Le point 14 du programme américain prévoit de restituer une partie des avoirs gelés à la Russie — un coup de tonnerre pour Bruxelles. Impensable pour les technocrates européens : ils préfèrent garder ces milliards sous clé plutôt que d’en céder la moindre partie à Trump ou, pire encore dans leur esprit, au Kremlin.
L’ironie est cruelle : l’UE panique à l’idée de voir ce butin lui échapper. Et, dans le même temps, ces capitales européennes négocient pour envoyer encore plus de notre argent à Kiev, sur plusieurs années.
Ces élites s’inquiètent que l’Ukraine manque de financement dans les deux prochaines années. Pourtant, qui s’inquiète lorsque nos retraités doivent choisir entre se chauffer ou manger ?
- Les caisses vides de l’UE convoitent les 210 milliards d’euros de fonds russes gelés -
Macron a fermé la porte aux États-Unis concernant les avoirs russes. Il a déclaré que c’est “aux Européens de décider” de leur sort. Le montant total des fonds immobilisés s’élève à 210 milliards d’euros : des avoirs appartenant à la Banque centrale russe et gelés depuis l’intervention en Ukraine en février 2022.
Pour de nombreux pays européens aux caisses vides, ponctionner ces montants — une idée que la Commission mijote depuis des mois — représente une opportunité en or pour dépenser sans se serrer la ceinture. L’Allemagne, les États baltes, les pays nordiques, la Pologne et les Pays-Bas poussent pour accélérer le mouvement. Ils ont flairé la bonne affaire.
Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, ne s’en cache pas. Il espère un accord rapide, qui permettrait à cette manne de filer vers l’Ukraine.
Mais l’opération est sans précédent et soulève de nombreuses questions juridiques. C’est précisément ce nœud légal qui fait grincer des dents à Bruxelles. La Belgique, qui abrite la majorité de ces actifs, ne cache plus sa réticence.
- La Belgique, dernier rempart contre la saisie controversée des actifs russes -
Les capitales européennes se retrouvent dos au mur avec seulement trois semaines devant elles. Elles doivent convaincre la Belgique d’adhérer à leur plan d’utilisation des actifs russes, ou trouver d’autres moyens de continuer à alimenter Kiev.
Un diplomate de l’UE l’a confirmé sans détour : le plan américain a balayé les hésitations et contraint l’Europe à trouver un accord dans l’urgence absolue.
Le gouvernement belge reste visiblement réticent. Une prudence qui s’explique aisément : l’opération est juridiquement risquée.
Malgré les sourires de Donald Tusk, qui reconnaît que la décision n’est “pas encore définitive, car certains pays européens ont encore des réserves”.
« La Belgique persiste et signe. Sollicitée par l’AFP, elle a rappelé que ses « préoccupations » et sa « position » restaient gravées dans le marbre. »
Les capitales européennes ont trois semaines, et pas une de plus : trois semaines pour tenter de faire plier la Belgique sur l’utilisation des fonds russes ou, à défaut, trouver in extremis de l’argent frais pour l’Ukraine. L’échéance politique : le sommet de mi-décembre.
https://twitter.com/EmmanuelMacron/status/1994044235717419300
Un nouveau Service national basé sur le volontariat va être institué. pic.twitter.com/ROotaO88rl
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 27, 2025
La France.
— ❗️En Mode Macron ™️❗️ (@EnModeMacron) November 27, 2025
Le Président Macron.
La Nation. pic.twitter.com/Zy7cCy19Ui
"Le service national sera utile aux jeunes, aux armées et à la Nation qui disposera donc de cette armée regénérée. Une armée complète. Une armée efficace et modernisée, capable de faire face aux risques dans tous les espaces." @EmmanuelMacron pic.twitter.com/T9RL9gGbmu
— Avec Sébastien Lecornu (@AvecLecornu) November 27, 2025
Pas de bol !
Depuis plusieurs heures, sur ce cliché du tireur de Washington, pas mal d'internautes veulent démontrer qu'il ne s'agit pas d'un immigré, ou d'un black, qu'il s'agit d'un blanc, voir d'un MAGA.
https://www.reuters.com/world/us/two-national-guard-members-shot-washington-dhs-chief-says-2025-11-26/
Plusieurs personnalités de la chaine Cnews ont refusé de répondre aux questions dans le fauteuil rouge de complément d'enquête :
— Monascope7 🗞️ (@Monascope7) November 26, 2025
- @PascalPraud
- @SoMabrouk
- @christine_kelly
- @GauthierBret
- @ELevyCauseur
- Serge Nedjar (patron de CNews)
🗞️ @le_Parisien pic.twitter.com/3yqbREkMWU
🚨🇫🇷📺 FLASH
— Impact (@ImpactMediaFR) November 26, 2025
À NE PAS MANQUER : LE COMPLÉMENT D’ENQUÊTE SUR CNEWS, CE SOIR À 23 H SUR FRANCE 2 ! https://t.co/d6x9ALRkbf pic.twitter.com/wBJHx0mQNk
"La liberté d'expression aujourd'hui est accaparée par l'extrême droite, instrumentalisée, dévoyée, j'estime qu'ils ne pratiquent pas la liberté d'expression, ils pratiquent un délit d'expression."
— Jacques Renardiere (@JRenardiere) November 27, 2025
Charline Vanhoenacker pic.twitter.com/F8lQ8mU78o
Face à la bollorisation des merdias
— vaudais toujours 🍉 🍉 (@TFilastin) November 26, 2025
Qui matraquent en permanence un triptyque "les 3I":
immigration, islam, insécurité." pic.twitter.com/kRSaz4niQx
https://t.co/Ke5ggpSvpO
— Marcello🐝 (@Marcel81048792) November 26, 2025
Reporters sans frontières accuse #Cnews de tricher sur le pluralisme et va saisir L'ARCOM.
Il était temps 👏
LA FABRIQUE CNEWS : RÉINFORMATION, MILITANTISME ET INGÉRENCES - Alors que les médias d’information jouent un rôle crucial dans la formation de l’opinion publique, CNews s’impose comme un cas d’école de dérive éditoriale. Étude après étude, un même tableau se dessine : la chaîne… pic.twitter.com/Ztrq5wrdv7
— Médias Citoyens (@medias_citoyens) November 27, 2025
Ce matin, Pascal Praud, de la chaîne de désinformation d’extrême droite CNews, est nerveux car Macron veut labelliser les médias d’info.
— Kunta van den Kinté (@denkinte_2) November 27, 2025
Donc il attaque les autres médias en parlant de pédophilie.
Et juste après, il passe l’antenne à son pote le prédateur de mineurs Morandini 🙃 pic.twitter.com/ny7UVdKzRx
C’est vrai. https://t.co/dVisimRndF
— Marie Coquille-Chambel (@mariecchambel) November 27, 2025
Contrôle des conversations sur Internet : la nouvelle version de ChatControl a été adoptée par les 27
Le Conseil s’est finalement mis d’accord sur une version du ChatControl, ce règlement européen contre les abus sexuels sur les mineurs en ligne. L’obligation de détection de contenus pédopornographiques a bien été supprimée, mais une autre disposition inquiète autant les défenseurs des droits à la vie privée et à la confidentialité de nos conversations.
Après trois ans de va-et-vient, les 27 pays de l’Union européenne (UE) ont bien adopté ce mercredi 26 novembre une position commune sur l’épineux projet de règlement contre les abus sexuels sur les mineurs en ligne (CSAM), rapporte le Conseil, la représentation des Etats européens, dans un communiqué.
Le texte, appelé « ChatControl » ou contrôle des conversations par ses opposants, avait déclenché un tollé au sein de la société civile et des organisations de défense des droits numériques. Ces derniers étaient vent debout contre une disposition du texte qui aurait contraint les messageries chiffrées comme Telegram, Signal ou WhatApp, à détecter les contenus pédopornographiques.
Pour rappel, cette obligation controversée de détection obligatoire avait finalement été supprimée, faute de consensus, en raison de ses implications pour la vie privée. Pour la ministre allemande de la Justice Stefanie Hubig, la mesure revenait à un « scan à grande échelle des messages privés », un scan qui « doit être tabou dans un État de droit ».
Que comprend alors le compromis voté ce matin ? D’un côté, il prolonge le régime actuel selon lequel les plateformes comme WhatsApp, Signal ou Olvid peuvent, aujourd’hui, détecter de tels contenus, mais sur la base du volontariat. Mais de l’autre, il renforce les exigences imposées aux plateformes, en matière « d’adoption de mesures d’atténuation ». Et cette dernière disposition, proposée par le Danemark, à la tête de la présidence tournante du Conseil, fait encore polémique. Les plateformes qui proposent des services à risque pour les mineurs auraient l’obligation d’adopter des « mesures de réduction des risques ».
« Ces mesures pourraient inclure la mise à disposition d’outils permettant aux utilisateurs de signaler les abus sexuels commis en ligne sur des enfants, de contrôler les contenus les concernant qui sont partagés avec d’autres personnes et de mettre en place des paramètres de confidentialité par défaut pour les enfants », précise le Conseil.
Pour l’ex-Eurodéputé du parti pirate allemand Patrick Breyer, opposant notoire à ChatControl, cela reviendrait, ni plus ni moins, à une obligation de détection. « Officiellement, les obligations explicites de scan ont été supprimées », écrit-il dans son article de blog, daté du 11 novembre dernier.
Mais « l’article 4 du nouveau projet oblige les fournisseurs de services de messagerie électronique, de chat et de messagerie instantanée comme WhatsApp à prendre “toutes les mesures appropriées d’atténuation des risques”. Cela signifie qu’ils peuvent toujours être contraints de scanner tous les messages privés, y compris sur les services chiffrés de bout en bout » regrette-t-il. Concrètement, il n’y aurait plus d’obligation de détection, mais les plateformes technologiques pourraient la mettre en œuvre de manière volontaire.
Le consensus trouvé au sein du Conseil ne signifie pas que le texte est adopté, mais seulement que le processus législatif de l’UE est enclenché. Désormais, les discussions avec le Parlement européen peuvent commencer, et elles risquent d’être longues. En novembre 2023, les Eurodéputés s’étaient mis d’accord sur une version du projet de règlement, sans (aucune) obligation de détection. Or, pour qu’un texte devienne loi, un consensus doit être adopté entre les trois co-législateurs de l’Union européenne : le Conseil, le Parlement européen, et la Commission européenne.
Le Parlement européen a voté 483 POUR – 92 CONTRE une résolution imposant un âge minimum de 16 ans pour accéder aux réseaux sociaux…
Avec vérification d’identité obligatoire pour appliquer la règle.
Objectif affiché : protéger les mineurs.
Effet concret : fin de l’anonymat en Europe.