L’Arcom veut créer des “SIGNALEURS DE CONFIANCE”, des acteurs agréés par l’État chargés de rapporter officiellement les contenus jugés problématiques. Un dispositif financé par l’argent public.
Dans le même temps, l’Arcom relance entièrement son observatoire de la haine en ligne : – un groupe dédié aux influenceurs et créateurs, – un autre aux plateformes et à leurs algorithmes, pour préparer de nouvelles règles et potentiellement de nouvelles lois. Ces groupes devront, en 12 mois, définir : – les “risques”, – les types de contenus à exclure, – les limites algorithmiques, – les futures obligations des plateformes. Cette offensive s’ajoute à : – la coalition d’associations lancée par Aurore Bergé en 2025, – les pressions sur certains influenceurs, – le choc de l’affaire Jean Pormanove, – la volonté d’Emmanuel Macron d’interdire les réseaux sociaux aux moins de 15 ans, – les enquêtes européennes visant notamment X. En clair : l’État et l’UE préparent un système où créateurs, plateformes et “signaleurs” devront signaler, filtrer et rendre des comptes. (Source : BFM Tech&Co)
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