Julien Pain à fait son coq sur les réseaux sociaux pour promouvoir son reportage sur Davos, en sous entendant qu'il allait débunker les idées conspirationnistes qui tournent autour de Davos. Sauf le petit diseur de vérité, déjà bousculé comme certains de ses homologues par l'affaire Fact and Furious, s'enfonce encore plus dans la médiocrité, en nous faisant croire qu'il a été interviewé "librement" des personnalités pendant le forum (alors que clairement il faut une accréditation et qu'évidemment, elle n'est pas donner à n'importe qui) mais en plus, trouve le moyen de faire une reportage qui est à l'image de ce forum : une vitrine.
En revanche, Julien Pain ne s'est pas intéresser à ce qui se passe à l'extérieur du centre ou à lieu le forum, car sinon il serait tomber sur d'autres journalistes, qui eux, réussissent à choper des têtes d'affiches pour leur poser des vraies questions, sur des vraies sujets, mais que sans doute, Pain nous aurait recouvert ça de "complotiste pseudo journaliste éditeurs de fake news", comme c'est la coutume avec ce genre de guignol.
Dans ce reportage de Pain on constate :- Il choisit bien son gilet jaune qui balance des idées sans sentir qu'il a approfondit les sujets.
- Il est à Davos, dans le forum, ou il ne précise pas qu'il est "acrédité" !
- Il dit "il va à des conférences et tenté d'intercepter " Non, il n'intercepte pas, il a une "autorisation". On approche pas des gens
comme Schwab comme çà. Et en plus, en tant que journaliste, on est censé potasser son sujet. Pain n'a semble t'il pas fait son boulot car il ne savait pas que Schwab parle le français.
- Il interview des gens en réalité, sans aller dans le détail, et surtout rester sur de la surface. Attali, Klitschko, Levy (Publicis), Suzman (Gates Fondation)... autant d'interviews qui en réalité sont parfaitement lissent, complaisante, sans écorner la vitrine "Davos".
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