Si en effet on aborde le sujet pour une efficacité pragmatique (qui s'en plaindrait de pouvoir contrôler les identité des fraudeurs dans le métro, bus, train) ça ne retire pas le fait que c'est une avancée vers le contrôle de masse par l'identité numérique.
"Concrètement, les contrôleurs de la SNCF et des transporteurs urbains de toute la France, comme la RATP à Paris, seront en mesure de demander à la Direction générale des finances publiques (DGFiP) "les données d’adressage des personnes qui sont contrôlées" pour vérifier si la personne appréhendée donne sa vraie identité et sa véritable adresse. "Rien de plus", explique le ministère de l'Économie, cité par Le Parisien. Le gouvernement avance qu'il "n'y aura aucune donnée fiscale de transmise"."
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