« Le jour de l’Apocalypse, ne vous dites pas que c’est la fin du monde, dites-vous que ça change ! »
Jenny écrivait hier :
« Ici au boulot ça commence à percuter (surtout à cause des nouvelles normes que l’Église du Climat nous impose; une TPE comme la nôtre ne peut absorber ces « changements » en terme d’opex… nous allons devoir fermer en 2024, 2025 grand max mais je penche pour sept. 2024)
Ça ouvre un œil, mais c’est trop tard, bien sûr. Ma seule collègue non-vax commence à comprendre l’euro numérique et ce qu’il « permettra » à nos psychopathes milliardaire au pouvoir (je dis "commence" car on est loin, très loin du compte), les villes 15minutes, etc.
Il y a trop à rattraper en termes d’info. On sait que c’est mort. Fascinant. »
Ils ignorent ou s’en foutent.
Lorsque le fisc l’a dépouillé même de sa chemise, le contribuable optimiste s’abonne à une revue nudiste et déclare qu’il se promène ainsi par hygiène, qu’il ne s’est jamais mieux porté (Bernanos, la liberté pour quoi faire ?).
https://www.dedefensa.org/article/philippe-muray-face-au-desert-des-barbares
Extrait d’un de nos textes sur Philippe Muray :
« Sur l’euphémisme dénoncé en son temps par Bourdieu (on parle de flexibilité pour payer 500 euros tout le monde) :
« …l’été dernier, alors que d’effrayantes inondations submergeaient l’Europe de l’est, notamment l’Allemagne et la Tchécoslovaquie, et que l’on se demandait si le climat n’était quand même pas vraiment détraqué, un hebdomadaire avait tranché avec un titre admirable : «Le climat ne se détraque pas, il change.» Appliquée au temps, c’est la rhétorique analgésique de l’époque dans tous les domaines : la famille n’est pas en miettes, elle change ; l’homosexualité, soudain toute-puissante et persécutrice, n’est pas au moins, per se, une étrangeté à interroger, c’est la sexualité en général qui change. Et ainsi de suite. »
Pointe d’humour (la litote à rebours) :
« Et, le jour de l’Apocalypse, ne vous dites pas non plus que c’est la fin du monde, dites-vous que ça change ! »
https://www.dedefensa.org/article/philippe-muray-face-au-desert-des-barbares
Extrait d’un de nos textes sur Philippe Muray :
« Sur l’euphémisme dénoncé en son temps par Bourdieu (on parle de flexibilité pour payer 500 euros tout le monde) :
« …l’été dernier, alors que d’effrayantes inondations submergeaient l’Europe de l’est, notamment l’Allemagne et la Tchécoslovaquie, et que l’on se demandait si le climat n’était quand même pas vraiment détraqué, un hebdomadaire avait tranché avec un titre admirable : «Le climat ne se détraque pas, il change.» Appliquée au temps, c’est la rhétorique analgésique de l’époque dans tous les domaines : la famille n’est pas en miettes, elle change ; l’homosexualité, soudain toute-puissante et persécutrice, n’est pas au moins, per se, une étrangeté à interroger, c’est la sexualité en général qui change. Et ainsi de suite. »
Pointe d’humour (la litote à rebours) :
« Et, le jour de l’Apocalypse, ne vous dites pas non plus que c’est la fin du monde, dites-vous que ça change ! »
Nicolas Bonnal
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire