Il y a 20 ans, l'amérique subira les foudres de la nature, avec Katrina, ouragan qui s'abbatera sur la Nouvelles Orléans, faisant 1800 morts, et des dizaines de milliers de victimes, considérées comme étant les premières victimes du réchauffement climatique dans un pays industrialisé. Mais la réalité sera toute autre car ce que révélera cette catastrophe, c'est que les quartiers pauvres auront été négligés et que le plus gros des victimes sont des afro américains des ghettos.
Bilan humain
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Total décès : environ 1 800 morts (dont près de 1 500 en Louisiane).
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Blessés : plusieurs milliers, souvent à cause de la noyade, de traumatismes ou du manque d’accès aux soins.
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Déplacés : entre 1,2 et 1,5 million de personnes dans tout le Golfe du Mexique. La Nouvelle-Orléans perdit temporairement près de la moitié de sa population.
Bilan matériel
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Maisons détruites ou endommagées : plus de 800 000 logements touchés.
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La Nouvelle-Orléans : environ 80 % de la ville inondée après la rupture de plusieurs digues.
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Infrastructures :
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Des dizaines de ponts et routes rendues impraticables.
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Réseau électrique et eau potable gravement endommagés (plusieurs semaines/mois avant rétablissement complet).
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Hôpitaux, écoles et commerces paralysés.
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Secteur industriel : destruction partielle de raffineries, de plateformes pétrolières et de dépôts de produits chimiques.
Bilan financier
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Coût total estimé : entre 125 et 170 milliards de dollars (selon le Congressional Budget Office et l’Administration américaine).
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C’est la catastrophe naturelle la plus coûteuse de l’histoire des États-Unis avant les incendies et ouragans des années 2017–2020.
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Assurances : environ 40–50 milliards $ de sinistres assurés.
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Secteurs les plus touchés : logement, énergie, infrastructures publiques et transport.
Impact particulier sur La Nouvelle-Orléans
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Inondation massive : quartiers comme le Lower Ninth Ward ont été entièrement submergés.
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Effondrement social : pauvreté et inégalités raciales ont amplifié les difficultés d’évacuation et de secours.
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Dépeuplement : la ville perdit près de 50 % de ses habitants immédiatement après l’ouragan (difficile retour pendant des années).
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Tourisme et économie locale effondrés : perte de dizaines de milliers d’emplois.
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