Quand le narratif habituel ne peut pas fonctionné, forcément, ça bug !
Impossible de trouver des arguments liant "l'extrême droite", "racisme", "fascisme", car l'auteur d'origine algérienne, ancien militaire, vétéran de la guerre d'Algérie, ne colle évidemment pas au profil désiré. Du coup, c'est bien une réalité urbaine, de laisser aller des pouvoir public, d'une responsabilité de l'état qui est en jeu. Et évidemment, touts les petits redresseurs de tords de la gauche bien pensante, zéthétiques à deux sous, sont absent du débat ! Parce que justement, le scénario ne colle pas à leurs narratifs coutumiers !
Un ex militaire de 83 ans a été remis en liberté vendredi. Il est soupçonné d’avoir tué un jeune homme de 21 ans en décembre dernier.
Un ancien militaire octogénaire, soupçonné d’avoir tué un jeune voisin à Charleville-Mézières il y a sept mois, a été remis en liberté vendredi, a-t-on appris de source proche du dossier, les parties civiles déplorant une décision “incompréhensible”.
19/05/2023
13/12/2022
Après les faits, la voiture de l’octogénaire, un ancien militaire, a été brûlée et son logement saccagé.
12/12/2022
Le procureur de Reims a dévoilé les avancées de l’enquête après la mort de Mahamadou Cissé, 21 ans, vendredi soir dans un quartier populaire de Charleville-Mézières (Ardennes).
Hocine A., un homme de 82, a reconnu avoir tué le jeune homme, son voisin, d’une balle de fusil 22 long rifle qu’il détenait de longue date. Le suspect, ouvrier retraité et ancien membre de commandos de marine ayant participé à la guerre d’Algérie, a indiqué en garde à vue qu’il ne connaissait pas la victime personnellement mais qu’il avait tiré après avoir été insulté par ce jeune et pris à partie par son groupe qui a entravé son passage alors qu’il rentrait chez lui après sa partie de boules habituelle.
Selon lui, ce groupe « lui menait la vie dure depuis 9 ans », en consommant très régulièrement cannabis et alcool, bloquant les portes et adoptant un comportement « anxiogène » pour le voisinage, a précisé le procureur Matthieu Bourrette à la presse ce dimanche. La victime, qui habitait le même immeuble, avait déjà été condamnée deux fois pour outrage et rébellion, mais pas pour infraction à la législation sur les stupéfiants.
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« Crime par exaspération »
Le procureur Bourrette a salué le sang-froid des policiers intervenus dans un contexte tendu, l’homme étant armée d’un fusil chargé de 11 balles tandis que la foule, qui semblait « prête à le lyncher » selon les policiers cités par le procureur, a du être dispersée à coups de gaz lacrymogènes.
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11/12/2022
Il ne supportait plus les réunions alcoolisées et la fumée du cannabis dans le hall de son immeuble d’un quartier sensible de la capitale des Ardennes. Un homme de 83 ans a pris son fusil et a tiré. La victime, âgée de 21 ans, n’a pu être réanimée après sa blessure à la poitrine.
Un « crime d’exaspération » : c’est ce que le procureur de la République de Reims, Matthieu Bourrette a retenu dimanche de l’audition d’un homme de 83 ans, selon France Bleu. L’octogénaire est soupçonné d’avoir tué dans la nuit de vendredi à samedi à Charleville-Mézières un voisin, âgé de 21 ans et connu des services de police, avait indiqué samedi le parquet.
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Le garçon de 21 ans était connu des services de police pour des délits mineurs de violences ou infraction à la législation sur les stupéfiants, a-t-on précisé de source proche de l’enquête, ajoutant que les deux protagonistes étaient de proches voisins. L’octogénaire « résiderait rue des Chardonnerets dans l’un des immeubles donnant sur le lieu du crime », selon France 3 Grand-Est.
10/12/2022
Un homme de 83 ans a été arrêté pour avoir tué dans la nuit de vendredi à samedi 10 décembre à Charleville-Mézières (Ardennes) un voisin.
Un individu a été arrêté suite à la mort par balle d’un jeune de 21 ans rue des Chardonnerets ce vendredi 9 décembre.
Les faits ont eu lieu en pleine rue, dans le quartier de la Ronde-Couture, ce vendredi 9 décembre. Un homme de 21 ans a reçu une balle dans le thorax, rue des Chardonnerets, aux alentours de 21 heures. Sur place, les sapeurs-pompiers qui sont intervenus décrivent une “situation hostile”.
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