GREAT RESET : Êtes-vous prêt à payer 800 milliards d’euros en plus par an pour l’U-E ?
Source Géopolitique-Profonde
Le 10 septembre à 18h, Marc Daoud et Stéphanie Reynaud sont les invités de Mike Borowski sur GPTV Actu.
Marc Daoud est le directeur de publication de Nexus, un magazine bimestriel français qui traite de sujets variés tels que la médecine non conventionnelle, l’écologie, la spiritualité et les théories du complot. Nexus se présente comme un média offrant une information libre, quitte à être inquiétante, et s’efforce de documenter des révélations et des innovations qui dérangent.
Stéphanie Reynaud est comédienne. Elle est également passionnée par les médias et la communication, et anime la chaîne YouTube nommée Tribune Libre , où elle interviewe des personnalités diverses sur des sujets d’actualité.
Bruxelles : le nouveau quinquennat du Great Reset et de la monnaie numérique
Avec le rapport commandé par Ursula von der Leyen et présenté aujourd’hui, l’Union Européenne semble s’engager dans un nouveau quinquennat marqué par des transformations profondes : le Great Reset, l’identité numérique, et la monnaie numérique.
Mario Draghi, ancien président de la Banque Centrale Européenne, a appelé l’UE à s’endetter de 800 milliards d’euros chaque année pour financer la transition écologique. Cette proposition soulève des interrogations majeures sur l’avenir économique de l’Europe et la souveraineté des États membres. En est-on à un tournant historique ou à l’aube d’une dépendance accrue aux technocrates de Bruxelles ?
800 milliards par an : le nouveau « quoi qu’il en coûte » européen ?
La question qui brûle les lèvres de tous : rentre-t-on dans une nouvelle ère de « quoi qu’il en coûte » européen ? La France, déjà lourdement endettée ET contributeur net pour l’Union Européenne, devra-t-elle encore plus mettre la main à la poche ?
La création d’une dette colossale, sous couvert de transition écologique, pourrait bien être un levier stratégique pour dépouiller les peuples européens de leur patrimoine et de leur épargne. L’ombre d’une manipulation économique planifiée pour renforcer le contrôle supranational se dessine.
Dette et hyperinflation : l’UE au bord du gouffre ?
Endetter l’Europe à hauteur de 800 milliards d’euros par an pourrait entraîner des conséquences catastrophiques : l’hyperinflation.
Un tel scénario ne menacerait pas seulement la stabilité économique, mais pourrait provoquer une implosion de l’Union Européenne elle-même. L’inflation galopante diminuerait drastiquement le pouvoir d’achat des ménages, tandis que l’épargne et les investissements des citoyens européens se verraient réduits à peau de chagrin.
Les entreprises, accablées par une pression fiscale accrue et un climat économique incertain, pourraient être encore plus nombreuses à choisir de quitter le marché européen pour des destinations plus stables, accélérant ainsi l’exode des capitaux et des talents.
De plus, les particuliers, épuisés par la hausse constante des prix et l’impossibilité de joindre les deux bouts, seraient poussés à chercher des alternatives hors de l’Union Européenne. En conséquence, la classe moyenne, pilier économique de nos sociétés, se verrait fragilisée, incapable de se relever dans un contexte de désintégration économique.
Avec Mario Draghi et les technocrates de Bruxelles qui continuent de multiplier les décisions controversées, le spectre d’une Europe divisée et en crise se précise. L’endettement massif, loin d’être une solution miracle pour la transition écologique, pourrait se transformer en un boulet insurmontable, précipitant l’Europe vers un abîme économique et social.
Les gouvernements nationaux, soumis à des pressions insoutenables, pourraient alors se détourner du projet européen, menaçant l’existence même de l’Union Européenne.
Cette situation pose la question : combien de temps encore l’Union Européenne pourra-t-elle tenir avant que l’implosion devienne inévitable ?
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