mercredi 18 juin 2025

ESTIMATION

 Ceci est une estimation pondue par ChatGpt qui ne trouve pas de statistiques ou d'études sur cette question fondamentale : quelle est la proportion de français qui pourraient s'en sortir si la technologie venait a faire défaut ? Ceci, je le répète, est "une estimation".

1. Personnes très autonomes (2 à 5 % de la population)

  • Sont capables de vivre sans électricité, Internet, ou infrastructure moderne.

  • Comprennent des profils comme :

    • certains agriculteurs traditionnels,

    • survivalistes ou "preppers",

    • membres de communautés alternatives (écolieux, ZAD, etc.),

    • anciens militaires ou passionnés de vie sauvage.

2. Personnes partiellement autonomes (10 à 20 %)

  • Peuvent se débrouiller de façon rudimentaire si elles ont accès à un minimum de ressources (terre, eau, outils).

  • Sont souvent :

    • des ruraux avec jardin potager,

    • des bricoleurs ou chasseurs/pêcheurs,

    • des retraités ayant connu une vie plus déconnectée.

3. Majorité technodépendante (75 % ou plus)

  • Vivraient de grandes difficultés sans eau courante, supermarché, chauffage ou téléphone.

  • Ce groupe inclut :

    • citadins habitués à l'hyperconnectivité,

    • jeunes générations peu formées à l’autonomie matérielle,

    • personnes âgées dépendantes de soins médicaux modernes.


Critères de dépendance à la technologie :

  • Lieu de vie : les urbains sont globalement plus dépendants.

  • Âge : les plus de 60 ans ont parfois des compétences oubliées, mais peuvent aussi avoir des besoins médicaux critiques.

  • Profession : métiers manuels ou agricoles = plus d’autonomie potentielle.

  • Culture personnelle : éducation à l’autosuffisance, pratiques de survie ou de résilience.


Conclusion :

Moins de 10 % des Français seraient aujourd’hui capables de réellement survivre en autonomie sans technologie pendant une longue durée.
La grande majorité serait en difficulté dès les premières semaines d’un effondrement technologique majeur, en raison de la forte dépendance aux infrastructures (énergie, nourriture, santé, communication).


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