Selon des bruits de couloirs, Harris n'arrive pas a convaincre et reconquérir le plus grand nombre de l'électorat démocrate qui la regardait un peu comme une cruche.
Kamala a-t-elle très, très peur ? Vont-ils la liquider ?
Source LIESIDOTORG
Par J. Howard Kunstler – “Sur de nombreux sujets importants pour la vie publique aujourd’hui, un grand nombre de personnes connaissent la vérité, et pourtant les canaux officiels de partage de l’information sont réticents à l’admettre.” – Jeffrey Tucker
Vous vous demandez peut-être si Kamala Harris peut rester dans la course jusqu’au 5 novembre. Si l’on se fie à son apparence sinistre lors de l’interview de la semaine dernière avec Dana Bash, affalée à la table d’un café minable de Géorgie sous un mauvais éclairage, son petit rire caractéristique étouffé, elle avait l’air psychologiquement flétrie. Ne soyez pas surpris si, à la fin de la semaine, elle “attrape Covid” et demande à “reporter” le débat du 10 septembre avec M. Trump.
Considérons la réalité déprimante de sa situation, récemment masquée par le motif farfelu de la “joie” mis en avant par les doreurs d’image de la campagne de son parti : tout d’abord, la cabale qui dirige la Maison Blanche a évincé Joe Biden de la campagne, l’accrochant à la scène comme un vaudevilliste en panne qui ennuie le public avec ses pitreries fatiguées. Ensuite, la même bande a placé Kamala sur le devant de la scène par un processus mystique qui n’a pas tenu compte de son manque de préparation, de son impopularité avérée lors des primaires de 2020 et de sa quasi-invisibilité pendant les trois ans et demi où elle a été vice-présidente de la Commission.
Pendant quelques semaines, sa tête a dû tourner à cause de l’ivresse pure et simple que lui procurait la tournure étonnante des événements. Qui ne serait pas stupéfait d’être choisi de manière inattendue pour se présenter à l’élection présidentielle ? Mais maintenant, après le battage artificiel de la convention, l’effroi s’empare d’elle. Si elle avait l’habitude de s’auto-médicamenter avec du chardonnay pendant les années pénibles où elle était vice-présidente, imaginez la pression qui pèsera sur elle pendant les voyages en bus de la campagne……
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